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- Feria du samedi - 9h à midi - Calle 42 - Varadero
Partagé par Lisette Auger : "La feria du samedi sur la 42e à Varadero ! Il faut vrrraiment voir ça sinon, vous n'avez rien vu ! Impressionnant !💕🍹" Voir la vidéo : https://www.facebook.com/100010154742559/videos/1054782394870242/
- Cubacel Tur, la nouvelle carte SIM pour les touristes à Cuba
Traduction d'un article paru le 9 décembre 2019 "L'Empresa de Telecomunicaciones de Cuba SA a commencé à commercialiser Cubacel Tur, une ligne téléphonique temporaire, acquise par le biais de distributeurs internationaux, destinée aux touristes de différentes parties du monde qui visitent l'île. Cette carte SIM a un cycle de vie de 30 jours à compter de son activation, et comprend un package de base et des packages supplémentaires. Le forfait de base a un coût de 25 dollars et comprend 1 giga de données pour la connexion Internet, 20 minutes pour les appels et la possibilité d'envoyer 20 messages texte. Pour sa part, les packages supplémentaires consistent en 600 mégaoctets supplémentaires pour 7 $; 1 giga supplémentaire pour 10 $; 2,5 gigaoctets supplémentaires pour 20 $ et 4 gigaoctets supplémentaires pour 30 $. Des packages supplémentaires spécifiques à ce type de produit doivent être achetés auprès de distributeurs internationaux. Il ne peut pas non plus être rechargé directement dans un bureau commercial d'ETECSA. Cubacel Tur ne peut pas être rechargé avec de l'argent, les promotions internationales de recharge ne s'appliquent donc pas. Le client peut récupérer le Cubacel Tur directement à l'aéroport José Martí, Terminal 3 au comptoir CubaTur (en bas des escaliers) avant de quitter Migration. " Source : https://noticias.cubitanow.com/cubacel-tur-la-nueva-tarjeta-sim-para-turistas-en-cuba/?fbclid=IwAR0kSokPBTbrZchLIps2KIlSXn0TZdCjmUZBX0OMvDeLXzcITJnKM6CLtoU
- Se faire faire des tresses à Varadero
Photo : Roxanne Doré Quelles sont mes options si je souhaite me faire faire des tresses à Varadero ? Il y souvent des dames qui se promènent sur la plage et offre ce service, mais sans insister. Une membre a partagé aussi cette information : « Je me promenais dans un marché public juste à coté du restaurant à fondue, près de la calle 62 et une madame était assise là et offrait des tresses pour 7 cuc; n’importe quel type de tresses c’était tout le même prix. elle était vers le fond par exemple, pas au bord du marché » Le même service serait offert dans le grand marché d’artisanat entre la Calle 15 et la Calle 16. Et Julie Bel nous dit : « 35 $ cuc cela a pris comme 1h30. » Près du Villa Tortuga donc à l'entrée de la ville. Dans son cas, c'était pour des tresses qui couvrent l'ensemble de la tête. Partage de Daniel Doucet : " Les filles qui font les tresses au marché aux puces à côté du Sunbeach s' appellent Anlieth et Yohana. Pour des tresses, manucure et pédicure demander Anlieth au grand marché d'artisanat Calle 15." Partage de Michel Guy : " Il a Ariana qui habite en arrière du grand marché au puce à côté du Sunbeach qui fait cela chez elle ( 1420 Avenida 2)."
- Chiens dépisteurs dans les aéroports de Varadero et de La Havane
Oui, il y a des chiens renifleurs dans les aéroports de Cuba Pour ma part, je les ai vus lors de mes voyages à Varadero (2015 à 2018) qui se promènent autour des carrousels ou sur les bagages. Selon ce que j'ai lu, ils reniflent principalement la drogue et possiblement la nourriture. Plusieurs membres ont confirmé mon observation et disent qu'il y en a aussi à celui de Santa Maria. et probablement dans d'autres aéroports. Les "nouveaux" chiens renifleurs de billets de banque à l'aéroport de La Havane Oui, ces fameux chiens seraient maintenant au travail à l'aéroport de La Havane. "Selon une source confirmée par CiberCuba, dans les installations de l'aéroport, il y a des chiens dressés pour détecter la personne qui a l'intention de retirer CUC de l'île." Mais ces chiens sont entraînés pour renifler des grandes quantités de billets et non quelques billets seulement comme on l'explique dans ces articles : https://www.lamanchelibre.fr/actualite-777221-a-cuba-des-chiens-formes-a-la-francaise-pour-renifler-l-argent https://www.ladepeche.fr/article/2017/10/12/2664102-blanchiment-argent-chiens-renifleurs-billets-aider-douaniers.html
- Voyager à Varadero avec un casier judiciaire
La réponse est… oui ! Nos membres nous ont confirmé que oui. Eux-mêmes, ou des gens qu’ils connaissent, ont pu se rendre et revenir de Varadero sans problème. Mais nous ne savons pas quelle était la nature du délit… Je vérifierais tout de même auprès des instances officielles Votre nouveau copain a fait de la prison pour meurtre ou trafic de drogue ? Je ne prendrais pas de chance et je communiquerais avec une instance diplomatique de Cuba au Canada pour obtenir leur avis. En effet, il peut parfois être plus difficile de quitter Cuba que d’y entrer. Ce qui est certain, c’est que les Cubains ne rigolent pas avec les délits commis sur leur territoire… Si vous planifiez voyager à Cuba, il y a normalement aucune restriction de la part de ce pays si vous possédez un casier judiciaire. Évidemment des exceptions et des cas particuliers peuvent exister (mandat d’arrêt international d’Interpol, historique familial, type de crime, etc). Il est donc recommandé de vérifier directement avec le consulat du pays avant de procéder à l’achat de votre voyage. Une fois les vérifications effectuées, vous procédez à l’achat d’un billet vol direct vers Varadero. Normalement, l’itinéraire de vol indique que vous n’avez aucune escale aux États-Unis. Vient alors une situation d’urgence obligeant le pilote à procéder à un atterrissage forcé. L’avion se trouvant au-dessus des États-Unis, l’atterrissage est donc fait en territoire américain. Arrivé à l’aéroport, vous vous retrouvez donc aux États-Unis … . Bien que cet arrêt n’était pas prévu et donc vous tentez de justifier la situation exceptionnelle au douanier, ce dernier ne voit pas les choses de la même façon. LA CONTINUITÉ DE VOTRE VOYAGE… OU PAS Il est très rare qu’un douanier américain vous laisse continuer le voyage même si la situation décrite plus tôt est exceptionnelle et totalement hors de votre contrôle. Après tout, vous avez choisi un vol direct justement pour ne pas faire d’arrêt aux États-Unis. Mais comme l’entrée dans un pays est considéré comme un privilège et non pas un droit, le douanier se trouve en situation de force au niveau de la décision finale. Dans la majorité des cas, vous devrez prendre un vol direct de retour vers le Canada et les vacances seront terminés. Source : http://www.ambassades-en-ligne.com/ambassade-et-consulats-de-Cuba-au-Canada.html
- Film "Cuba and the cameraman"
Un film à voir selon nos membres et je me suis ajoutée à la liste ! Quel beau documentaire ! Présentation sur le site AlloCiné : "Ce portrait révélateur de Cuba retrace la vie de Fidel Castro et de trois familles cubaines affectées par sa politique au cours des quarante dernières années." Traduction de l'article sur Wikipedia : "Cuba et le caméraman Cuba and the Cameraman est un documentaire américain de 2017 écrit, réalisé et coproduit par Jon Alpert . Le film est un original Netflix et a été présenté pour la première fois au 74e Festival international du film de Venise. Le film montre Cuba pendant 45 ans à travers l'objectif de Jon Alpert . Production Alpert a commencé à visiter Cuba dans les années 70. Après avoir fondé le Downtown Community Television Centre , il s’intéresse de plus en plus à la politique cubaine. "Nous avons entendu dire que Fidel Castro mettait en œuvre les programmes sociaux pour lesquels nous nous battions ici à New York". Le film a été monté à partir de plus de 1 000 heures de séquences filmées par Alpert depuis sa première visite à Cuba [1]. Réception Sur la revue agrégatrice Rotten Tomatoes , le film a été approuvé à 100% sur 7 commentaires, avec une note moyenne de 7.7 / 10. [2] Metacritic , qui utilise une moyenne pondérée , a attribué une note de 82 sur 100, sur la base de 5 critiques, indiquant "l'éloge universelle". [3] Glenn Kenny de The New York Times a écrit: « En partie à cause de ses taches aveugles politiques, « Cuba et le Cameraman » est captivante (Tout ce que vous pensez du point de vue de M. Alpert, il est intéressant.) Mais il est surtout l' observation vaut la peine. à cause d'histoires humaines comme celles-ci. " [1] David Ehrlich d' IndieWire a attribué un B + au film et a déclaré: "Si seulement Alpert avait été un peu moins génial, s'il avait creusé un peu plus profondément - si seulement il s'était sorti de l'équation ou était allé dans l'autre sens et beaucoup plus introspectif au sujet de ses sentiments compliqués à propos de Castro - «Cuba et le caméraman" aurait alors pu être plus qu'une fenêtre sur un monde étranger. Mais les fenêtres sont importantes; sans elles, nous ne pourrions jamais voir à travers nos murs Et c’est une fenêtre aussi claire et large que vous pourrez probablement trouver. " [4] Sheri Linden, du Los Angeles Times, a déclaré à propos du film: "En tant que portrait du pays depuis des décennies, son film vibrant est sans précédent." [5] Neil Young du Hollywood Reporter a écrit: "Une œuvre d'humanisme à l'ancienne qui oscille entre une ferveur pro-révolutionnaire et une position documentaire plus objective, Cuba and the Cameraman est soutenue par les liens de confiance forts que le grégaire Alpert a a évidemment pu entretenir avec des Cubains de divers échelons de cette société théoriquement sans classes ". [6] Références Kenny, Glenn. "Revue:" Cuba et le caméraman "prodigue de l'amour à un pays… et à Castro" . Le New York Times . Récupéré le 24 février 2018 .^ "CUBA ET LE CAMERAMAN (2017)" . Tomates Pourries . Récupéré le 24 février 2018 .^ "Cuba et le Cameraman 2017" . Métacritique . Récupéré le 8 mai 2018 .^ Ehrlich, David. " Révision de " Cuba et le caméraman ": Netflix présente un regard intime saisissant sur 50 ans de vie à Cuba" . IndieWire . Récupéré le 24 février2018 .^ Linden, Sheri. "Le cinéaste crée des liens au fil des décennies dans le documentaire" Cuba et le caméraman " " . Los Angeles Times . Récupéré le 24 février 2018 .^ Jeune, Neil. " ' Cuba et le caméraman': critique de film" . Le Hollywood Reporter. Récupéré le 24 février 2018 ." Article très intéressant et en français - Entretien avec Jon Alpert, le réalisateur de «Cuba et le caméraman» https://laregledujeu.org/2017/11/11/32717/entretien-avec-jon-alpert-le-realisateur-du-attendu-cuba-et-le-cameraman/
- Découvrez les tattoueurs de Varadero
Tattoo : une offre variée et du travail de qualité ! Qui aurait pensé que Varadero regorge d’artistes du tattoo ? Pas moi! Pourtant, plusieurs membres du groupe ont partagé leurs bonnes adresses et des photos. Je vais vous les présenter plus bas. Je dois dire que je n’ai aucun tattoo et que je n’ai pas l’intention de m’en faire faire, peu importe les encouragements des membres de notre groupe ! Je tiens donc à préciser que je ne suis pas en mesure de porter un jugement éclairé sur les appréciations partagées par nos membres. Beaux tattoos mais est-ce sécuritaire ? En ce qui concerne les artistes recommandés par nos membres, il semble bien que oui. Nous avons plusieurs témoignages de personnes différentes qui permettent d’assurer la crédibilité de l’information. Une partie de l’explication vient du fait que plusieurs de ces artistes s’approvisionnent au Canada. Eh oui ! Ils arrivent à se procurer du matériel stérilisé chez nous. Il y a même deux personnes qui ont confirmé qu’elles en apportaient pour leur artiste préféré. Il me semble tout de même important que toutes les personnes qui décident de se faire faire un tattoo, à Varadero comme n’importe où ailleurs, vérifie si les mesures d’hygiène sont bien appliquées. Quelques artistes et leurs réalisations Je place les studios en ordre alphabétique simplement pour éviter que vous puissiez penser que j’ai un parti pris. De toute façon, je n’ai aucun tattoo ! A Lo Cubano Color Ink Tattoos https://www.facebook.com/luismanuel.martinez.123276 Estilo Real - Eduanis Rama Nadia Ducchka InKuba https://www.facebook.com/varaderotattoo/?hc_location=group Tattoo Enrique Enrique Colina a été recommandé par plusieurs personnes. Enrique est membre de notre groupe FaceBook. Tattoo de Robert Lévesque - 2 heures de travail https://www.facebook.com/enrique.colina.399 Tattoo InkPro Recommandé par Nathalie Carré Varadero Ink Master Studio https://www.facebook.com/varadero.ink Un conseil très pertinent ! Une membre me suggère de mentionner qu’il faut prendre rendez-vous et préférablement la dernière journée du voyage car pour quelques jours il faut éviter le soleil, la mer, le sable… et l’alcool ! Merci pour la contribution de nos membres Merci à tous les membres de notre groupe qui ont partagé leurs photos !
- La température en janvier à Varadero
Est-ce qu'il fait "froid" à Varadero en janvier ? Certaines personnes disent oui et d'autres disent non. Encore une fois, cela dépend de ce que l'on recherche ! Pour moi, 24 à 26 degrés le jour est parfait mais au-dessus de 30 est le minimum pour d'autres. Une membre nous a fait un relevé des statistiques des températures à Varadero au cours des 10 dernières années. Merci beaucoup Chantale Dufour ! Mais attention, ce sont des statistiques sur le mois entier. Et pour les autres mois de l'année ? Ce site pourra certainement vous intéresser ! Température, heures d'ensoleillement, température de l'eau de mer, pluviométrie... vous y trouverez beaucoup d'informations ! https://www.partir.com/Cuba/Varadero/3534632/quand-partir.html Et si vous vous rendez jusqu'au bas de la page, vous aurez accès à un outil qui pourrait beaucoup vous plaire ! Notez bien la toute dernière phrase sur la photo. ;-)
- Varadero à une autre époque - pour les personnes qui aiment l'histoire ou pour les nostalgiques !
De belles photos qui nous permettent de découvrir Varadero sous un autre jour Grâce à une de nos membres, Gabriella Boi-Mor, nous découvrons Varadero à une autre époque. J'ai aussi ajouté quelques autres photos et informations en provenance d'autres sources. Certains endroits et édifices sont dispurus alors que d'autres ont changé de vocation. Mais une chose est certaine, j'aurai envie de me promener dans Varadero pour repérer ces lieux ! Parque Los Chivos (photos qui sont présentées plus haut) "C'était le parc avant qu'il devient La Coppelia. Aujourd'hui connu comme Las Tiendas Hicacos (Centro Commercial Hicacos), il était petit.. Il était entre les Calles 44 et 45, la Primera Avenida et la plage. LA cALLE 45 A disparu avec la construction du Parque de 8000 Taquillas. Nous le connaissions comme "le parc des chèvres" à cause des chariots qu'ils louaient aux enfants pour faire le tour du parc. Relativement, il a existé pour une petite période de temps. Il a été inauguré en 1948 et en 1957-1958 ils construisaient déjà le bâtiment actuel." Édifice Contraforte "Ceci est le CONTRAFORTE qui est aujourd'hui l'hôtel Acuazul. Aussi des blocs appartements. Il y avait une cafétéria y la terminal de bus." Édifice Veraforte "Vara = tribu et Fuerte = fort - Je ne sais pas la raison qu'ils ont appelé la bâtisse Varafuerte mais la définition est tribu fort ou peuple fort. Après la révolution les blocs appartements de Varadero on était convertis en hôtels. Celui-ci est devenu le VARAZUL. En plein coeur de la Pachanga. Regarde bien sur la photo. Les maisons autour du VARAZUL ne sont pas là. Acuazul à côté aussi était des appartements et le Sunbeach. Il y a encore du monde qui vit dans Le VARAZUL et SUNBEACH. Ils on refusé de partir. -Quand tu dis qu’ils habitent encore ... tu veux dire qu’ils habitent là à l’année ? C’est leur maison même si des touristes vont au Sunbeach ? Est-ce que j’ai bien compris ? - Oui - ils y habitent depuis plusieurs années ? et quand tu dis Pachanga ça veut dire quoi ? C’est le nom d’un quartier ? ( excuse mon ignorance) j’adore l’histoire! Tu es vraiment merveilleuse de nous renseigner - La Pachanga c'est le nom du quartier. La section de la 12 à la 17. Une fois c'était le village des pêcheurs. [...] les maisons sont super belles à l'intérieur. Le gouvernement n'a pas pu les forcer de partir même si beaucoup ont tout abandonné. Je connais un monsieur qui a 3 ou 4 appartements dans le VARAZUL. Ils sont sur différents étages. Mais au SUNBEACH ils ont convaincu de déménager sur le même étage et ils ont une entrée à part." Appartements Bellamar aujourd'hui connu comme Hôtel Sunbeach Hôtel Herradura "Il était connu avant comme Le Marisel. Démoli le 18 décembre 2016 (ma mémoire n'est pas 100%). Ma malchance est d'être à Cuba chaque fois qu'ils font une démolition. Ici il y a des photos de l'hôtel encore en service et des photos avant la démolition. Lui aussi était un bloc d'appartements. On devrait peut être dire condos car les appartements il fallait les acheter pas les louer." Images saisissantes de la destruction de cet hôtel https://www.facebook.com/MatanzasenFotos/videos/1357063757743474/?t=0 Hôtel Internacional (l'ancien qui est maintenant remplacé par le Mélia Internacional Varadero) Vidéo de l'hôtel dans ses années de grande gloire : https://youtu.be/Jr-3GAf6Dfg Vidéo tourné dans l'hôtel abandonné : https://youtu.be/Y7ajKxR9H4Y Hôtel Dos Mares Havana Club (bar-discothèque)
- Partir pour Varadero en hiver - la technique du "multi couches"
Quoi porter pour le départ ? Les situations peuvent beaucoup changer. Certaines personnes laissent leur voiture personnelle à l'aéroport et peuvent donc y laisser bottes et manteaux chauds. Si c'est un ami qui vous y dépose et viens vous chercher, il est facile pour lui de les prendre puis de vous les rapporter. Comme nous prenons un taxi, nous avons deux choix : 1) s'il fait vraiment très froid, partir avec les gros vêtements d'hiver et payer pour le service de vestiaire à l'aéroport ou 2) utiliser la technique du "multi couches". Quelle est cette technique ? L'objectif est d'avoir le moins froid possible ET que tout ce que nous portons puisse resservir à Varadero. Pour les pieds On porte une ou plusieurs paires de bas (légers ou plus chauds) dans des espadrilles imperméables. On n'a jamais porté les bas à Varadero, mais les espadrilles sont utiles lorsqu'il y a de fortes (mais habituellement courtes) averses. Comme pantalon Habituellement, j'enfile un pantalon pas trop serré par-dessus un short. J'ai un autre pantalon très léger que je peux porter entre les deux si c'est très froid. Pour le haut du corps J'enfile une camisole, puis un tshirt, puis un manches longues léger, puis mon imper hyper mince et je termine avec ma doudoune très mince. À l'aéroport, je place habituellement l'imper et la doudoune dans mon bagage à main (prennent très peu d'espace une fois roulés). Bien sûr, dans mon bagage à main, il y a mes gougounes, mon maillot, une serviette très mince de type yoga, ma crème solaire et un chapeau en plus d'un kit de rechange(en cas de perte de la valise ou pour profiter rapidement de la plage si notre chambre n'est pas encore disponible). Comme foulard, j'utilise une écharpe en tissus léger que je peux enrouler au tour de mon cou et qui peut ensuite me servir de châle pour me protéger du soleil ou de l'air climatisé. Dans l'avion et à l'arrivée à l'aéroport Dans l'avion, j'enlève les couches au fur et à mesure de ce qui fait mon confort. Ce que j'aime, c'est que je n'ai pas à aller me changer dans la minuscule salle de toilette de l'avion l'a bloquant ainsi pour des personnes qui souhaitent l'utiliser pour son usage principal. ;-) Pendant qu'on attend pour le contrôle du passeport ou encore rendus à l'étape de l'attente des valises, on met nos gougounes et on finit d'enlever les couches qui sont devenues inutiles. Et pour le retour, on fait l'inverse !
- Une superbe vidéo (danse et musique) pour célébrer les 500 ans de La Havane en 2019
Chucho Valdés et le Ballet national de Cuba ensemble dans le clip vidéo «Habana 500" Le pianiste cubain éminent, Chucho Valdés , et le Ballet national de Cuba (BNC) se sont unis pour rendre hommage à la capitale cubaine dans le clip vidéo de La Havane 500 , réalisé par Jonal Cosculluela et produit par la compagnie cubaine CINESOFT. La musique, composée spécialement pour l'occasion par Valdés, est associée au spectacle de danse de Viengsay Valdés, directeur artistique adjoint du BNC, ainsi qu'à d'autres personnalités de la compagnie, telles que Anette Delgado, Sadaise Arencibia, Grettel Morejón et Dani Hernández, en plus du corps de danse de la BNC. La vidéo présente Gabriel Dávalos en tant que directeur de la photographie, récompensé aux niveaux national et international pour son travail spécialisé dans la danse. La vidéo traverse plusieurs points emblématiques de la capitale cubaine, tels que le Malecon, le Paseo del Prado, le Grand Théâtre de La Havane "Alicia Alonso", le Packard Hotel, le boulevard San Rafael, la Place de la Révolution et le Stade latino-américain, entre autres lieux. La vidéo a été diffusée le 18 octobre, juste un jour après le décès de Alicia Alonso, première ballerine Assoluta . Selon une déclaration publiée par la société, "le concept esthétique du projet allie le classique au moderne, ainsi que le mélange de styles qui caractérise la ville comme un sceau d’identité dans son architecture, ses sons et ses mouvements". Lien pour voir la vidéo : https://youtu.be/Eb9aw8_QQAs
- Cuatro Palmas et Las Palmas (hôtels de la chaîne Starfish) - informations, chambres recommandées...
Photo : Annick Dupuis Situation de l'hôtel Les différentes sections de l'hôtel Plan du site Autre plan du site Les parties en mauve sont les bâtiments associés à l'hôtel. La section 1 correspond à la section "Cuatro" et on retrouve juste à côté la section "Coloniale". De l'autre côté de la rue, les sections 2, 3 et 4 sont les sections "Las Palmas". Ces sections ont été rénovées. Les cercles indiquent des bars où on retrouve plus de bruit le soir. Autre angle Quelques informations générales Hôtel 16 ans et + - Une piscine, trois bars et trois restaurants - Assez peu d'animation selon nos membres - L'hôtel lui-même n'offre pas nécessairement des animations pour les jeunes adultes qui aiment "faire le party," mais la Calle 62, le Havana Club et la Comparsita sont à moins de 5 minutes de marche Cuatro Palmas : 160 chambres dans deux bâtiments (section Cuatro et section colonial) - directement sur la plage Las Palmas : 122 chambres dans trois bâtiments (sections 2 à 4) - il faut traverser la rue pour se rendre aux restaurants, à la piscine (2 minutes) et à la plage (4 à 5 minutes) - petit buffet pour le petit déjeuner au bloc 2 - chambres rénovées - bloc 2 le plus tranquille - ***est parfois vendu avec petit déjeuner seulement donc vérifiez bien votre forfait avant d'acheter*** Présentation sur le site de Sunwing (le seul qui vend l'hôtel au Québec du moins) Cuatro Palmas : https://www.sunwing.ca/fr/hotel/cuba/varadero/starfish-cuatro-palmas Las Palmas : https://www.sunwing.ca/fr/hotel/cuba/varadero/starfish-las-palmas Présentation sur le site de Starfish https://www.starfishresorts.com/fr/resort/starfish-cuatro-palmas/ Commentaires sur Monarc.ca https://www.monarc.ca/commentaires-hotels/Cuba/Varadero/hotel-68-Starfish_Cuatro_Palmas.html Chambres recommandées dans la section "Cuatro" (ne donnent pas sur la Primera Avenida et donc sur la Calle 62) 1107 à 1111 1207 et 1208 1226 à 1229 1232 1234 à 1240 1307, 1308 et 1309 1324 1329 1333 à 1340 : chambres 3e étage, vue sur mer, très tranquille. Chambres recommandées dans le bloc 2 de la section Las Palmas 2220 (voir photos plus bas) 2227 2231 2230 (voir photos plus bas) Note : Le premier chiffre correspond au "bloc" (section) et le deuxième, à l'étage. Photos partagées par nos membres J'ai fait une sélection de photos, mais il y a plusieurs albums(11 en date du 17 août) très bien fournis sur notre site Web (voir dans les "s" pour Starfish Cuatro Palmas) : https://passionvaradero.wixsite.com/passionv/photo-albums?fbclid=IwAR18VHv9p3yhUuaFOAI3qixa_kiRVOAYsPl6YuP2KPxDx8s2NcWC2PTcZ6k Pierre Ladouceur Marie-Josée Caron Marie-Josée Caron Marie-Josée Caron Pierre Ladouceur Chambre section "cuatro" - Annick Dupuis Chambre section "cuatro" - Annick Dupuis Chambre section "cuatro" - Annick Dupuis Chambre section "colonial" - Pierre Ladouceur Section "colonial" - Pierre Ladouceur Chambre section "colonial" - Pierre Ladouceur Section "colonial" - Pierre Ladouceur Chambre bloc 2 section "Las Palmas" - Sonia Carpentier Chambre bloc 2 section "Las Palmas" - Sonia Carpentier Chambre bloc 2 section "Las Palmas" - Martine Mainville Bloc 2 - Jonathan Loiselle Bloc 2 - Mario Levasseur Bloc 2 - Mario Levasseur Photos partagées par Julie Guilbault le 17 octobre 2019 - Section Las Palmas 1) Chambre 2220 2) Chambre 3201 Photos partagées par Lise Leclerc à son retour le 25 octobre 2019 - chambre 2230 Autres photos Salle du buffet - Jacques Côté Les photos du buffet qui suivent sont de Marie-Josée Caron Celles-ci sont de Jacques Côté Terrasse - Éric Geneviève Moreau Vue de la terrasse - Cynthia Mcduff Et, pour terminer, voici des photos de la fameuse salle de toilette du lobby qui a été en réparation pendant plusieurs mois hi hi hi! Les photos ont été partagées par Annick Dupuis.
- Alicia Alonso, danseuse étoile de Cuba décédée à 98 ans le 17 octobre 2019
Une dame et artiste très respectée par les Cubains Cela fait plus de deux ans maintenant que je consulte régulièrement plusieurs médias cubains et j'ai rarement vu un témoignage d'amour aussi unanime envers une personne. J'ai donc pensé vous la faire découvrir en même temps que moi aussi je la découvre. Je fais d'abord un copier-coller du site Wikipédia. "Alicia Alonso (de son vrai nom Alicia Ernestina de la Caridad del Cobre Martínez del Hoyo), née à La Havane le 21 décembre 1920, et morte dans la même ville le 17 octobre 2019, est une danseuse et chorégraphe cubaine. Elle a dirigé le Ballet national de Cuba qu'elle a fondé en 1948. Alicia Alonso commence ses études de danse en 1931 à La Havane, à la Sociedad Pro-Arte Musical, avec Nikolai Yavorsky1, et danse à Cuba sous le nom d'Alicia Martinez. À 15 ans, elle se marie avec son partenaire Fernando Alonso. Elle continue ses études à New York avec Anatole Vilzak et Ludmilla Shollar à la School of American Ballet, et plus tard avec Vera Volkova à Londres. C'est d'ailleurs aux États-Unis qu'elle commence sa carrière professionnelle en 1938. Elle danse dans plusieurs comédies musicales comme Great Lady en 1938 et Stars in your eyes en 1939 (chorégraphie de George Balanchine). À 19 ans, elle devient en partie aveugle. Ses partenaires doivent se trouver exactement là où elle pense qu'ils se trouvent et elle se repère sur scène grâce aux lumières. Dès 1939, elle entre à l'American Ballet Caravan, précurseur de l'actuel New York City Ballet. En 1940, elle intègre le tout nouveau New York City Ballet où elle passera les meilleures années de sa carrière de danseuse en interprétant les grands rôles du répertoire romantique et classique. Nommée étoile, elle aura l'occasion de travailler avec les plus grands chorégraphes, tels que Michel Fokine, George Balanchine, Léonide Massine, Bronislava Nijinska, Antony Tudor, Jerome Robbins ou Agnes de Mille. Ses versions des grands ballets classiques sont connues internationalement : à l'Opéra de Paris (Giselle, Grand pas de quatre, La Belle au bois dormant), à l'Opéra de Vienne et au Théâtre San Carlo de Naples (Giselle), à l'Opéra de Prague (La Fille mal gardée) et à la Scala de Milan (La Belle au bois dormant). Désireuse de développer le ballet à Cuba, son pays d'origine, elle fonde en 1948 à la Havane le Ballet Alicia Alonso. Cette compagnie prendra plus tard son nom actuel de Ballet Nacional de Cuba, troupe qu'elle continue de diriger dans les années 2010, comme en 2017 lorsque cette troupe est à l'affiche à Paris, salle Pleye. Dans les années 1960, elle intervient pour faire libérer des proches des Unités militaires d'aide à la production mis en place par le régime cubain6. Elle devient à partir de 1959 une fervente partisane de la révolution cubaine. En 2002, elle est nommée ambassadrice de bonne volonté de l'UNESCO pour sa contribution au développement et à la sauvegarde de la danse classique. Elle décède le 17 octobre 20197. « Elle est partie et nous laisse un vide immense, mais aussi un héritage inégalé », déclare le président cubain Miguel Diaz-Canel." En savoir un peu plus sur elle Voici quelques articles qui pourraient vous intéresser : https://www.lapresse.ca/arts/spectacles/danse/201910/17/01-5245768-deces-de-la-danseuse-et-choregraphe-alicia-alonso.php http://www.rfi.fr/ameriques/20191018-alicia-alonso-cuba-hommage-mort-danse https://www.courrierinternational.com/article/hommage-alicia-alonso-la-grande-dame-du-ballet-cubain-disparait https://www.cibercuba.com/noticias/2019-10-19-u1-e129488-s27061-honras-funebres-alicia-alonso-gran-teatro-habana
- Excursion à La Havane !!! - Chantal Durand-Boivin
Excursion à La Havane !!! Merci Yenny Perez Pino et son mari Mike (Guides privés) Je les recommandes sans hésiter. Nous avons eu une très belle journée.
- Gilles Laviolette - en casa
Un merveilleux voyage en casa et sa fait juste de commencer merci à Liette Coté pour la location de la casa ont est très heureux et ont manque de rien viva Cuba Varadero
- Album photo de Guy Bertrand
Certaine photo son du Cuatro Palmas et Las Palmas
- Club de golf de Varadero
Un dix huit trous sous le ciel des tropiques! Le Varadero Golf Club est premier parcours de golf de 18 trous à Cuba, a été conçu par l’architecte Les Furber, président de la société canadienne Golf Design Services LTD (GDS). Il couvre une étroite bande de 3,5 km située entre “ Los Cactus (Breezes SuperClubs)”, LTI “ Tuxpan “, “Bella Costa”, Meliá “Las Américas “, “Golf & Suites Resort”, “Meliá Varadero”, “Sol Club Palmeras”, et ” Sol Club Sirenas “hôtels. Quand il s’agit de vacances d’hiver et de vacances de relâche, Cuba est une destination très commune étant donné que les forfaits de voyage vers cette île sont parmi les moins chères de toutes les vacances dans les Caraïbes. Une station tout compris ici coûtera aux voyageurs un tiers à la moitié du prix des autres îles, avec la République dominicaine arrive en deuxième position. En plus d’une grande variété de stations balnéaires et de superbes plages, Cuba propose également de superbes cigares, des attractions comme la nage avec les dauphins, la plongée sous-marine, le parachute ascensionnel et d’autres sports nautiques, ainsi que de nombreuses voitures classiques. du centre-ville de Varadero. Cependant, le seul grand attrait pour les Caraïbes pendant les mois d’hiver est le golf et Cuba semble manquer de cours. En fait, il n’y a qu’un petit nombre sur l’île, en partie grâce à l’ancien leader Fidel Castro qui a dénoncé le sport. Heureusement, l’un des cours existants est Varadero Golf Club – un nom simple et direct par rapport à de nombreux clubs trouvés dans les Caraïbes. Mais juste parce que le nom est simple ne signifie pas que le cours l’est. Comme beaucoup de parcours, les demi-avant et arrière jouent différemment, les neuf premiers étant un peu plus faciles et les neuf derniers présentant plus de défis, en particulier sur les trous 11, 15, 17 et 18. Ce cours comporte 4 séries de blocs de départ à chaque trou afin de défier davantage les golfeurs. Les blocs de départ bleus fournissent des tirs à 6 314 verges ou vous pouvez revenir à jouer à partir de l’or à 6 856 verges. Les tees rouges sont fixés à 5,107 yards, et il y a des tees blancs à 5,742 yards. Les trous 8 et 18 ou plus de dames accomplies peuvent jouer des blancs (5.742 yards). Les trous 8 et 18 jouent à côté de la plage et sont positivement beaux. Varadero Golf Course offre beaucoup de commodités, y compris deux driving range, trois putting greens, un pitching green, et des bunkers d’entraînement. Le clubhouse, qui surplombe l’océan, est le manoir Dupont 1930 connu sous le nom de Xanadu. En plus d’un pro shop, d’un caddie et de casiers, ce parcours abrite également un restaurant français et un bar en terrasse, qui apportent tous le même prestige que celui qui a attiré le tournoi européen PGA dans le passé. Caddies, chariots électriques et des instructions professionnelles sont également disponibles à tout moment. En prenant en considération tout, il ne doit pas y avoir une grande variété de terrains de golf disponibles à Cuba parce que Varadero Golf Club a tout ce qui est imaginable pour cela. C’est un parcours haut de gamme que les golfeurs peuvent vraiment apprécier, non seulement pour le défi mais pour la beauté. Site Web : https://www.varaderogolfclub.com/en/home.asp Commentaires de Nicolas Tremblay, un de nos membres )23 septembre 2019) : " J'ai joué ce terrain 35 fois lors des 10 dernières années et je pourrais le qualifier de 8/10. Beaucoup de changement au cours des 5 dernières années. Il ne fait que s'améliorer. Je le recommande a tous le monde.. Beau layout et que dire de la vue Extraordinaire.... "
- Différence entre "swim out" et "swim up" en ce qui concerne les hôtels dans le Sud
Parfois, on se perd entre les deux termes ! Je le sais, j'étais la première à confondre les deux. ;-) Une chambre est dite "swim out" si elle permet d'accéder directement à une piscine (privée ou publique) en ouvrant la porte patio de sa chambre. Un bar est dit "swim up" si on peut s'y asseoir alors qu'on est dans la piscine pour se faire servir un verre.
- Oui, il y a un hôtel Pullman à Varadero (en plus de celui de Cayo Coco) !
Un des vieux hôtels de Varadero Nous en entendons peu parler parce que ce n'est pas un "resort" et il n'est pas vendu par les voyagistes québécois. C'est un 2 étoiles qui fait partie de l'histoire de Varadero et qui est fréquenté surtout par des Cubains et quelques Européens : "Puis dans les années 30, 40 les maisons se dessinent dans un savant mélange de pierres, notamment de corail avec ses couleurs et aspérités caractéristiques, et de bois visible sur les balcons, charpentes et structures de bâtiments : exemple de l’actuelle pizzeria Castel Novo, le restaurant Lai Lai, la policlinique de Varadero, ou encore les hôtels Pullman et Dos Mares " Source : https://www.cubania.com/blog/cubania-2/post/varadero-une-petite-ville-riche-dhistoire-370 Mais il renferme un petit bijou que tous les voyageurs voudront découvrir ! Il est possible de prendre une agréable pause dans le jardin de l'hôtel au cours de la journée ou d'aller y voir des spectacles de musique le soir. Pour le trouver Site de l'hôtel : https://hotelpullmanvaradero.com-cuba.com/fr/?_escaped_fragment_=&_escaped_fragment_=
- DELFINARIUM
Passion Varadero Facebook Page Version 2 – 21 mars 2018 https://www.facebook.com/groups/402004800556690/ DELFINARIUM Coordonnées / Contact informations : Adresse: Laguna los Tainos, Autopista Sur Km 12½, Varadero Téléphone: (53 45) 66 8031 Site Web : http://www.dolphinariumvaraderocuba.com/ Lieu / Location Coût d’entrée - Information partagées par Rox Houle le 19 septembre 2019 - Elle spécifie "Ne pas se fier aux prix sur le site Web, ils ne sont pas les mêmes qu'à l'entrée" Spectacle seulement: 15 CUC pour les adultes et 5 CUC pour les enfants Interaction (nager) avec les dauphins: 95 CUC pour les adultes et 73 CUC pour les enfants Photo avec un dauphin: 5 CUC Stationnement: 2 CUC Un service optionnel de photos est offert en extra durant l'interaction Frais de caméra: 5 CUC pour utiliser votre propre appareil-photo ou caméscope. Tous – Les enfants adorent ! Heures d’ouverture Heures d'ouverture: 9:00 à 17:00 pm, tous les jours Spectacle de dauphns: à 11:00 et à 15:30 pm Nage avec les dauphins: 9:30 à 11:30 et 14:30 à 16:00pm Meilleur moment pour visiter : journées ensoleillées Présentation Ce Delphinarium est situé dans un lagon naturel près de la Marina Chapelin. Il y a généralement 2 (pardois 3) spectacles par jour, environ 40 minutes chacun, à 11:00 et à 15:30. Après le spectacle on peut se faire prendre en photo avec un dauphin (sur une plateforme, pas dans l'eau) pour 5 CUC. Les visiteurs peuvent aussi nager et effectuer différents types d’interactions avec ces gracieux mammifères pendant environ 20 minutes. On peut se rendre au Delfinario par soi-même (bus ou taxi) et payer à l'entrée (tarifs ci-dessous), ou, on peut réserver l’excursion Nager avec les Dauphins (incluant les transferts de votre hôtel) auprès d'un tour opérateur à votre hôtel ou en ville. Commentaires de membres Melissa Proulx (20 mars 2018) - " Bonsoir, question pour le dolphinarium encore la Est-ce-que cest mieux de le faire a partir de lhotel ou de se rendre la bas pour l'excursion et en quoi consiste l'activie? Est-ce-que quelqu'un connait les Prix aussi Merci d'avance" - A-Anne Cantin "Nous on la fait de l'hôtel .. ils nous ont amenés la bas bcp trop tôt ... le spectacle commençait à 11h je pense et on était là à 9h30 ou qqchose du genre... on devait attendre... Après le spectacle tu nages avec les dauphins !" Manon Allaire - "C’est 15 cuc sûr place" Tracy Rudderham - "Last year we got the bus up and watched the show for 15 cucs and paid 5 cucs to get picture of kissing dolphin . You take your own pictures." Sandra Charlebois - "C’est moins dispendieux de se rendre sur place a partir de l’autobus moi j’y vais aque fois de cette facon je nage pas avec les dauphin mais je paie 15 cuc pour le spectacle et 5 cuc a la fin pour une photo." Annie Rodrigue - "Je suis allé le 4 ou 5 janvier 2019. Payé 85 CUC par enfants pour spectacle et nager avec les dauphnins. 21 CUC adultes accomagnateurs pour spectacle seulement. acheté directement à notre hotel : Barcelo Solymar" FICHIER PDF : https://www.facebook.com/download/preview/2213648772217815
- Demi-marathon de Varadero - 29 mars 2020
Pour les amateurs de course à pied Extrait du site Web (traduction automatique de l'anglais) : "Le semi-marathon international de Varadero, depuis ses débuts en 2018, est dédié à la compétition d'élite. Lors de la dernière édition, le 31 mars 2019, le Kenyan Timothy Kiplagat Ronoh a de nouveau remporté la course, avec un nouveau record en 1h 02'51 ''. Sans aucun doute, cela en fait le semi-marathon le plus rapide des Caraïbes. En 2019, près de 1 400 coureurs de 18 nationalités différentes ont participé aux deux épreuves: Semi-marathon et 10 km. La présence de 7 champions olympiques cubains, dont Ana Fidelia Quirot, qui a participé au semi-marathon, a motivé tous les participants. Une fois les deux courses terminées, enfants et adultes de tous âges participent à la course Fun Run. Le 29 mars 2020, le semi-marathon international de Varadero accueillera le "Championnat national de demi-marathon de Cuba" et pour la première fois le "Championnat NACAC" (Association d'athlétisme d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale et des Caraïbes). Dans un environnement paradisiaque, dans le plus grand complexe de l'île de Cuba, Varadero offre toutes les possibilités de circuler sur une route côtière plate avec une température idéale d'environ 20 ºC. Après la course, comme dans les éditions précédentes, il y aura une fête avec un orchestre cubain et des stands de boissons et de nourriture. Les coureurs de différentes nationalités peuvent profiter d'une course unique et paradisiaque." Petite précision Les membres qui étaient présents à Varadero pour les éditions 2018 et 2019 nous ont confirmé que cette activité ne causait que très peu de problème pour la circulation ou de dérangement en ville. Site de l'événement En anglais et espagnol : http://varaderohalfmarathon.com/en/home/
- Services de gardiennage d'enfants dans les hôtels de Varadero
Je dois ou souhaite voyager avec mes jeunes enfants à Varadero, est-ce que je pourrai trouver une gardienne (babysitter) si je désire profiter d'un souper en tête-à-tête avec ma/mon conjointe/conjoint ? Lorsque je fais des recherches sur les sites des hôtels offerts en tout-inclus, on ne mentionne pas ce type de service. Du moins, je n'ai rien trouvé pour le moment. Cependant, plusieurs membres nous disent qu'il est toujours possible de faire la demande à la Réception. Ils auraient des listes de personnes fiables pour assurer ce service, que ce soit du personnel de l'hôtel ou des personnes en qui ils ont totalement confiance. Je ne voyage pas avec des enfants mais sincèrement, je ne serais pas inquiète de les laisser à une personne recommandée par l'hôtel. Si j'avais cependant un doute, je prendrais une photo de la personne avec mes enfants, mais j'avoue que ce serait un peu excessif. ;-)
- Varadero est-elle une ville sécuritaire pour une femme qui voyage seule ?
La réponse est... Oui ! Voici quelques commentaires de femmes membres de notre groupe : Vanessa Pilon Pétrin : "Cuba 100% safe pour les femmes seules ;) " Marie-Claude Gauvin : "Je me promène seule le.soir sans problème. Surtout à Varadero. J'ai voyagé plusieurs fois seule à Cuba. J'y suis actuellement. Je me sens beaucoup plus en sécurité le soir que dans mon propre quartier au Québec. Si tu es craintive, reste sur les chemins les plus achalandés, mais Varadero, c'est super safe et il y a beaucoup de circulation policière pour assurer la sécurité. Juste respecter les règles de bases que tu appliquerais dans les rues de chez toi: ne pas exposer ses richesses ou une tonne d'argent, ne pas laisser ses objets de valeur à la vue et sans surveillances. Mais tu vas beaucoup te faire cruiser en étant seule. A Cuba, c'est fou comme on se sent irrésistible quand on se promène seule. ;) " Sabrina Brassard : "C’est sécuritaire, mais comme n’importe où il faut agir prudemment. Si vous sortez en ville seule et que vous buvez tellement que vous avez de la difficulté à marcher, vous augmenter les risques qu’il vous arrive qqch... " Marie-Pier Jolicoeur : "100% sécuritaire j'y suis allée seule et j'ai même été marché en ville le soir pour aller au Beatles et calle 62" Catherine Couture : "Je voyage toujours seule et peu importe l heure jamais eu de problèmes à varadero." Julie Bordeleau-Cantin : " J'abonne dans le même sens que les autres. Le jour, aucun problème à sortir seule n'importe où en ville et à Santa Marta. Le soir, je préfère rester sur la rue principale (Primera Avenida). Mais je suis plus inquiète des vacanciers qui ont abusé de l'alcool dans les tout-inclus que des Cubains... " Sonya Bouchard : "Je suis souvent allée seule et je me suis promenée de jour comme de soir (souvent très tard) dans les rues sans jamais avoir de problèmes. Ils sont très respectueux. Ils respectent les touristes. Par contre si tu sors dans les bars en ville attends toi à te faire "cruiser" les cubains aiment les femmes, mais tu dis non et ils n'insistent pas contrairement aux dominicains. " Hélène Aubut "Je voyage seule depuis plusieurs années et il n’y a qu’à Varadero où je me sens totalement en sécurité. J’ai voyagé seule au Mexique et plusieurs fois en République Dominicaine mais maintenant je suis craintive de partir seule dans ces destinations. Vive Varadero !" Bien sûr, les règles de base de sécurité restent de mise, mais vraiment une femme seule ne doit pas hésiter à voyager à Varadero !
- Les aborigènes de Cuba
Source de la photo : https://www.ecured.cu/Abor%C3%ADgenes_de_Cuba On aime les Cubains, mais que savons-nous de leur histoire ancienne? Selon ce que je vois des partages de nos membres, il semble y avoir peu d'activités qui mettent en valeur la culture des aborigènes de Cuba près de Varadero. Il y a la reconstitution d'un village Tainos visité lors de l'excursion en jeep. Photo partagée par Vicky Bouchard Et la visite de la Grotte des mulsumanes. "Situé dans la Reserva Ecologica Varahicacos (Réserve Écologique Varahicacos), la Cueva Musulmanes est une petite grotte où un squelette et autres fossiles furent découverts. Elle est aussi reconnue pour son importance cérémoniale dans la culture des Indiens Siboney. Les recherches démontrent que le squelette trouvé dans cette grotte est celui d’un homme entre 25 et 35 ans qui aurait vécu entre 500 avant JC et 500 après JC. Les spéléologues y ont également trouvé les restes d’un mealunus-rodes, un mammifère préhistorique considéré comme l'ancêtre du hutia cubain (un petit rongeur endémique à Cuba). Au milieu du XIXe siècle la grotte est utilisée comme repaire par des contrebandiers cubains (qui se surnommaient "musulmanes"), en raison de sa position élevée qui permettait de surveiller les deux côtes de la péninsule. La visite de la Cueva Musulmanes fait partie du parcours d’un sentier balisé où l'on peut aussi admirer la faune et la faune de la région. - Admission: 5 CUC" Source : http://www.varaderoguide.net/cuevademusulmanes_fr.html Je vois aussi très peu d'information ou d'annonce sur des activités qui soulignent les aborigènes dans les médias cubains. Découvrir les aborigènes de Cuba J'ai trouvé cet article très intéressant. Je me permets de vous partager la traduction en français (désolée, elle n'est pas parfaite...). Il est très long mais il faut la peine d'être lu ! Début de l'article "Aborigène de l'île de Cuba Les historiens estiment qu'à l'arrivée de Christophe Colomb à Cuba , l'île comptait quelque 300 000 aborigènes. Ils étaient pacifiques et amicaux et ont été regroupés en trois groupes principaux: les guanatahabeyes et les siboney (non potiers) et les taínos (potiers). Le climat noble, la flore variée avec des aliments naturels abondants allant des fruits aux tubercules qui font toujours partie du régime alimentaire des Cubains, comme la patate douce et le manioc, et l’absence d’animaux dangereux, ont particulièrement favorisé la viedes premiers habitants de la région. archipel Alors seulement les ouragans - dont le pas était évidemment impossible à prédire - constituaient une menace pour la vie, mais même devant eux se trouvait l’abri protecteur des grottes . Bien que la culture autochtone ait été pratiquement exterminée, sa présence est toujours reconnue dans les aliments typiquement créoles, tels que l’ajiaco, un ragoût de viande, de tubercules et de légumes; et le casabe, une sorte de gâteau au manioc. Sa langue est toujours utilisée pour nommer des lieux de la ville de La Havane, tels que Uyanó (aujourd'hui Luyanó), nom qui désigne un ruisseau et un quartier de La Havane; Guasabacoa, nom d'une des criques de la baie de La Havane; et Guanabacoa, territoire qui, dans la langue autochtone, signifie peuplé de collines et de sources et où très peu de ses descendants se mêlent à d'autres cultures. [...] Population de Cuba Parmi les différentes théories existantes sur la façon dont les Caraïbes ont été peuplées, et en particulier Cuba, figurent: 1. Entrée des terres d'Amérique du Sud, par l'arc d'îles situées devant les côtes du Venezuela, en profitant des courants marins, des vents et de la sortie vers la mer de l'Orénoque. Ou bien dirigez-vous vers la mer jusqu'aux Caraïbes en empruntant la rivière Magdalena, en Colombie. 2. Possibilité d'arriver à Cuba depuis le delta du Mississippi et la péninsule de Floride, en passant par les Bahamas ou même directement. 3. Route en relation avec l’Amérique centrale, en particulier la zone située entre le Belize et le Honduras, dont les courants marins et aériens pourraient avoir favorisé la navigation à l’intérieur des Caraïbes et l’approche des petites îles voisines. Périodisations Les périodisations des cultures autochtones cubaines sont diverses et constituent une controverse non résolue. Pour sa détermination, le mode de vie et de production, la région géographique, les sites aux caractéristiques exceptionnelles, les outils, l'apparence physique, etc. ont été pris comme point de départ. Dans le texte Eléments de géographie et d’histoire ancienne et moderne de Cuba , de [[José María Latorre]] (XIXe siècle), les communautés autochtones de l’île sont classées selon la région dans laquelle elles vivaient: celles de l’est sont belliqueuses ; ceux du centre, pacifiques et effrayants; ceux de l'ouest, impoli. [[Fray Bartolomé de las Casas]] a légué le concept selon lequel il existait des habitants sauvages, appelés Guanahatebeyes et d'autres, appelés zibuneyes ou siboney, selon leur mode de vie; à propos des Taínos, il dit qu'ils viennent de [[Hispaniola]]. La classification du XIXe siècle qui prédomine divise les habitants précisément en Taínos, Ciboneyes et Guanacas. Plusieurs Américains qui se sont rendus à Cuba se sont intéressés aux études archéologiques et se sont aventurés dans des expéditions dans la plus grande des Antilles. L'un d'entre eux, Jesse Walter Fewkes, a classé les villes de l'ouest, de l'est et les habitants des cayerías du sud et du nord de Cuba à Taínos, pêcheurs de clés et de troglodytes. Pour lui, il y avait deux groupes distincts: les premiers colons, qui étaient comme des sauvages, et ceux qui avaient atteint un niveau supérieur, de [[Porto Rico]] à [[Haïti]] ou de La Española. Dans [[1912]], le français H. Beauchat, dans le Manuel d'archéologie américaine , expliquait que les cultures de l'île de Cuba pouvaient être classées en guanacabibes, chibcha ou guetare, calusa ou timuka, aruaca ou taine et les Caraïbes. Mais cette nomenclature présentait des idées fausses. Dans [[1921]], [Mark Raymond Harrington] a présenté l’œuvre Cuba avant Columbus , dans laquelle il explique qu’il avait vécu à Cuba deux cultures: un ciboney-guanahatabey primitif et Taino, avec un niveau de développement plus élevé, des Meilleurs ustensiles En [[1913]], [Juan Antonio Alejandro de Jesús Coscuelluela y Barreras]], nommé ingénieur en chef du projet de dessiccation et de démarcation des terres marécageuses du [[marais de Zapata]], s'aventure dans le champ de archéologie et anthropologie. Sur la base d’études menées dans différents lieux, de l’anthropologie physique, des méthodes d’enfouissement, des investigations archéologiques et zooarologiques, de l’analyse de pièces lithiques et de coquillages, il établit les itinéraires de migration possibles, la composition des habitants et propose de classer la population. Autochtone cubain à Guanahatabeyes, habitants peu développés à l’ouest; aruacos, dans les territoires centraux de Cuba, d'origine caribéenne; et les Taínos vers l'est, en provenance du continent. Des années plus tard, il rectifia ses postulats, Dans l’ouvrage Origins of the Tainan Culture , Sven Loven propose la classification suivante: Guanahatabeyes, Ciboneyes ou Lucayos et Taínos. En [[1926]], Carlos García Robiou définit dans sa thèse d'opter pour le diplôme universitaire de docteur en sciences naturelles, idée des cultures précolombiennes de Cuba. La première période d’explorations archéologiques: travaux de Miguel Rodriguez Ferrer , l’existence de quatre cultures, la première, originale ou primitive, à faible développement, appelée ciboney; la seconde, légèrement plus avancée que la précédente, et la troisième, taino, avec une agriculture et une poterie prospères et un riche trousseau. La quatrième culture serait celle qui correspond aux Caraïbes, qui, selon Robiou, ne vivaient pas à Cuba mais s’aventuraient dans ses côtes. Elías Entralgo, auteur du schéma de sociographie Indocubana (1937), a classé les aborigènes cubains selon les courants conceptuels de l'époque, à Guanahatabeyes ou à Guanahatabibes ou Guanacabibes, Exbuneyes et Taínos. Le professeur titulaire de sociologie Roberto Agramonte, dans son livre Sociology (1940), divise les sociétés préhispaniques en fonction de la structure économique sur laquelle reposent la structure politique, familiale et religieuse. Il a nommé le complexe agraire de Taino et l'a divisé en sous-complexes en fonction de la présence de manioc, de maïs, de tabac, de feu, de tissu et de fil. En 1940, deux professeurs de l'Université de Yale sont arrivés à Cuba: Irving Benjamin Rouse et Cornelius Osgood. En 1942, ils publièrent les ouvrages Ciboney sur la culture de Cayo Redondo et Archéologie des collines de Maniabón . Rouse et Osgood ont proposé de maintenir la subdivision proposée par Harrington de Taino et Subtain. La culture Ciboney la divise en deux périodes: le début du Guayabo blanc et le fin de Redondo Cay. Dans [[1943]], [[Fernando Ortiz]] décrit, dans les cultures indiennes de Cuba et des quatre cultures indiennes de Cuba, l'existence de quatre groupes: Aunabey Guayabo Blanco, Guanajatabey ou Cayo Redondo, Baní et autres dépôts ou Ciboney, et Nouvelle ville ou Taino. Pour [[Felipe Pichardo Moya]], il y avait trois indocultures bien différenciées: les guanahatabeyes ou cultures archaïques, caractérisées par le fait qu’elles avaient des instruments rudiment en coquillages et vivaient dans des grottes; Ciboneyes ou indocultures côtières, sculpteurs sur pierre; et Taínos ou cubain indoculture des plateaux, avec déformation crânienne, agriculture et céramique développée, maîtrise du bois et polissage d'objets en pierre tels que des haches de pétaloïdes. Dans l'oeuvre La Caleta: joyau archéologique antillais (1946), René Herrera Fritot et Charles Leroy Youmans reviennent au schéma traditionnel guanahatabeyes, qui correspondrait au guayabo blanc du marais de Zapata; Les Ciboneyes, vestiges du Plurial, les artefacts de Cayo Redondo et le matériel collecté dans les clés septentrionales de la région centrale; et Taínos, ceux avec le développement agricole, font la boue, font une poterie utilitaire et rituelle et déforment le crâne. En [[1950]] a lieu la table ronde des archéologues des Caraïbes. Dans ce cas, il est approuvé de classer les complexes dans les cultures préhispaniques. Il a été pris pour un accord de ne pas utiliser les termes archaïque, paléolithique, mésolithique et néolithique, et d'utiliser, selon l'ordre de l'antiquité, les périodes I pour la coquille, II pour la pierre et III pour la poterie. Le complexe culturel I était caractérisé par un trousseau rustique en coquillages et en pierres, des villages isolés et proportionnels aux résidents. Complexe culturel II pour la fabrication d’ustensiles en coquillages, en pierre et en bois, ainsi que d’objets fabriqués avec des arêtes de poisson et des vertèbres. Complexe culturel III dominé par la poterie, la sculpture sur bois et les interrelations possibles entre les représentations des hommes, des animaux et des plantes; Ils possédaient l'agriculture et connaissaient leurs techniques. Ils ont fabriqué des objets en os. Ils avaient des colonies plus stables et construisaient des maisons de différentes manières. Ils ont fabriqué des fibres et des tissus. Ils pratiquaient la déformation crânienne frontale, occipitale-oblique, mais pas tous les habitants. En [[1964]], le professeur René Herrera Fritot, qui travaillait à l'Académie des sciences de Cuba, postule une nouvelle classification: le groupe céramique et non céramique. Il établit également quatre sous-périodes: pré-Taino, Taino précoce, Taino moyen, Taino tardif. Le même jour, le département d'anthropologie de l'Académie conçoit un autre modèle, en fonction du niveau de développement: les producteurs de poterie, qui incluent les cultures Taíno et subtaíno; et des collecteurs non céramiques, pour les ciboney Guayabo Blanco et l’aspect Cayo Redondo. En [[1965]], l'archéologue [[Ernesto Tabío Palma]] et l'historien [[Estrella Rey Betancourt]] jettent les bases d'une périodisation marxiste des cultures préhispaniques cubaines dans son ouvrage Préhistoire de Cuba . Ils divisent les communautés aborigènes de Cuba en producteurs de poterie (associés au groupe culturel aruaco dans lequel se trouvent Taínos et subtaínos), à une agriculture naissante sans poterie (ciboney de type Cayo Redondo) et en chasseurs-cueilleurs non en céramique (ciboney de type Guayabo Blanco). Plus tard, ils ajustent ce système au niveau de développement socio-économique et, dans le cas des producteurs de poterie aruaco, ils ajoutent à la division de Taínos et Subtaínos, un nouveau groupe culturel appelé Mayarí, qui avait une agriculture naissante et était un potier. [[Manuel Rivero de la Calle]] apporte une nouvelle nomenclature, dans laquelle il n'incorpore pas les subtaínos, dans le livre Cultures aborigènes de Cuba (1966): groupes non céramistes (guanahatabeyes et ciboney) et potiers (Taínos). En 1979, lors de la IVe Conférence archéologique de Cuba et des Caraïbes, Tabío Palma propose une périodisation sur les cultures préhispaniques de Cuba, fondée sur un examen des paramètres évolutifs et une analyse de la base économique, en trois étapes: Les premiers, pré-Agroalrera, sont des groupes qui ne pratiquent ni l'agriculture ni la céramique et ne pratiquent que la collecte, la pêche et la chasse mineures, qui correspondent à trois phases: précoce, avec ustensiles en pierre taillée, grands couteaux, grattoirs et burles; phase intermédiaire, Guayabo Blanco ciboney, avec monticules ou résidus, objets façonnés en pierre, coquillages, percussions, pilons et gouges; et phase tardive, ciboney Cayo Redondo, avec outils en pierre, mortiers, pilons, poignards et boules lithiques. La seconde, protoagrícola, avec une céramique naissante, peu décorée ou non et une prédominance de la microlítica; Ses phases font référence à des lieux géographiques: l'un ancien, Playita Canímar, à Matanzas, et Aguas Verdes, à Guantánamo, tandis que ce dernier recevait les dénominations d'Arroyo del Palo, Mayarí. La troisième étape, agroalfarera, concernait les groupes qui avaient atteint le plus haut niveau de développement, les Taínos, dotés de céramiques de pointe, pouvant servir à la fabrication de casabe et autres et à la maîtrise des techniques agricoles. Cette périodisation a été adaptée et enrichie par [Ramón Dacal Moure] et Manuel Rivero de la Calle, en [1986], lorsqu’ils ont préparé l’œuvre Archéologie autochtone de Cuba . En [[1994]], dans le premier chapitre du livre Historia de Cuba. La colonie: évolution socio-économique et formation nationale. Des origines à 1867Les archéologues Lourdes Domínguez, Jorge Febles et Alexis Rives, appartenant au Centre d’anthropologie, ont proposé une table chronologique dans laquelle ils localisaient les stades classiques et leur équivalent culturel. En ordre décroissant, ils apparaissent: Néolithique (communauté développée de la gentilicie); producteurs de poterie (Mayari); vers l'an zéro, début de l'élaboration de la céramique, cultures végétales naissantes (Canímar et Aguas Verdes); la communauté primitive, archaïque, mésolithique gentilicia (Ciboney Cayo Redondo et Ciboney Guayabo Blanco) et, enfin, la communauté primitive gentilicia, chasseurs, qui correspond au paléolithique, protoarcaique (Seboruco). Toujours en [[1994]], les chercheurs Alexis Rives, Jorge Febles et Gabino La Rosa proposent pour l’ Atlas archéologique national l un autre modèle, mélangeant une variante de la classification antérieure avec celle de Tabío Palma: agroalfarero, en tant que communautés de tradition néolithique. ; protoagroalfarero, communautés de tradition néolithique naissante; preagroalfarero, communautés de tradition mésolithique et paléolithique. Dans [[1997]], Lilián Moreira de Lima définit les cultures préhispaniques dans son texte La société communautaire de Cuba , en fonction des caractéristiques économiques et sociales, dans quatre types de communautés: celles qui avaient la chasse comme nourriture fondamentale, celles qui promouvaient exploitation de la pêche, ceux qui ont fait l’agriculture naissante et ceux qui ont atteint un degré plus élevé de développement agricole. c’est-à-dire des communautés de chasseurs, de pêcheurs, d’éleveurs et d’agriculteurs sporadiques. Dans le livre Aboriginal Archaeology. Santiago de Cuba , de José Jiménez Santander, propose une périodisation basée sur les postulats de Tabío et de Guarch, qui divise la première étape de l'appropriation en trois périodes historiques: la première période, la période intermédiaire et la période intermédiaire ou secondaire. La deuxième étape de la production la divise en deux périodes: la période tardive et la dernière période. Enrique Alonso, Gerardo Izquierdo et Ulises González, de l'Institut d'anthropologie de Cuba, définissent une formation socio-économique pour les appropriateurs de prétributions et une autre pour les producteurs tribaux. Pour eux, la culture n’est pas le facteur déterminant, mais ils établissent que les communautés autochtones dans l’histoire de Cuba sont structurées par étapes économiques. la protoarchie; paléoarchique; Les paléoindiens, les preagroalfareros; communautés preagroalfareras de tradition paléolithique et chasseurs de la variante culturelle Seboruco. Appropriateurs moyens, Guanahatabey; Siboney; Ciboney; Auanabey; Complexe I et complexe II; culture côtière et culture cavernicole; Guayabo Blanco et Cayo Redondo preagroalfareros de la phase ciboney; variantes culturelles Guanahacabibes et Guacanayabo, phase pêcheurs cueilleurs; archaïque; mésolithique; Méso-indien et communautés de tradition mésolithique. Détenteurs tardifs, groupe culturel Mayarí; phase formative, protoagrícola et protoagricultores, variante culturelle Canímar et Mayarí. Producteurs, Indiens de la même île; les taínos; complexe III; Taínos et subtaínos, agroalfareros, agriculteurs du stade de l’économie productrice, intégrés par les variantes culturelles Damajayabo, Baní, Jagua, Cunagua, Bayamo et Maisí, néolithique et agroalfareros de tradition néolithique. Guanatahabeyes Ils appartenaient à la phase la moins avancée des cultures autochtones cubaines et sont considérés comme les habitants les plus primitifs du pays. Bien que très répandus, les premiers Européens arrivés à Cuba ont été confinés à l'extrémité ouest de l'île, dans la région de Cabo de San Antonio . Des références historiques indiquent qu'ils utilisaient comme abri des cavernes et des abris semblables à la roche, et qu'ils se nourrissaient de poissons et de mollusques marins ainsi que de quelques fruits récoltés. Dans une lettre de Diego Velázquez du 18 avril 1515 , il est écrit: Les maisons de ces guanahatabibes sont sauvages, car elles n’ont ni maison, ni sièges, ni villages, ni terres agricoles, ni ne mangent autre chose que de la viande dans les montagnes, des tortues et des poissons. La gouge à coquille - son instrument principal - ainsi que des vases, des marteaux, des pics et même des ornements d' escargots ont été retrouvés dans les résidences de Guanahahabeyes à Cuba, et dans une moindre mesure, des couteaux à silex et d'autres outils en pierre censés être utilisés pour broyer et préparer Viandes et quelques repas. Siboneyes Plus avancés que les Guanahahabeyes, les Siboney ont réalisé des formes symétriques et une finition plus aboutie de leurs différents instruments. Dans la plupart des cas, ils ont été obtenus à partir d'obus ou de pierres pour construire des mortiers, des marteaux, des pilons, des cuillères et des instruments de coupe. Vers l'an 1500, ils se trouvaient dans le nord principal de l'actuelle province de Villa Claraet dans les îles du nord connues sous le nom de Jardines del Rey . Ils ont également habité toute la bande côtière sud de la région centre-est jusqu'au golfe de Guacanayaboet l'archipel des Jardines de la Reina , principalement dédié à la pêche. Cependant, du point de vue archéologique, les érudits leur attribuent une présence presque répandue dans tout le pays. Tainos À l'instar de leurs proches, les Siboney (qui, selon les chroniqueurs de l'époque, ont été subjugués) venaient de l'île voisine d' Hispaniola , aujourd'hui commune à la République dominicaine et à Haïti . Situés principalement dans le centre et l'est de Cuba, les Taínos ont promu l'agriculture et la poterie, où ils ont atteint un niveau de développement élevé. Leurs villes communales structurées par caneyes et bohíos , indistinctement, étaient petites mais bien organisées et le chef était la plus haute autorité. Le travail a été distribué au profit de tous et, par conséquent, pendant que les hommes allaient à la chasse et à la pêche, pour lesquels ils avaient déjà des filets en coton tissé et des hameçons en épines, les femmes contribuaient de manière décisive à l'ensemencement. Cultures et cultures. Ils se sont également vu confier la production de poterie, à des fins utilitaires principalement des casseroles, des burenes et autres, qu’ils utilisaient pour cuisiner. On sait qu'ils ont cultivé le chili , l' arachide , la patate douce, le yucca, à partir duquel ils ont produit la casabe - un gâteau de ce tubercule similaire au pain que l'on mange encore aujourd'hui à Camagüey et dans l'est du pays pour accompagner les viandes; le coton qui sert à faire des hamacs et des réseaux ainsi que le maïs et le tabac à priser , qui ate de préférence associée à diverses cérémonies. Un grand nombre d'instruments de pierre tels que mortiers, marteaux et haches ont été découverts , ainsi que des idoles de nature lithique différente mais d'une grande beauté et perfection, ainsi que des bancs de type bois précieux appelés dujo qui utilisaient les caciques. Ils ont également développé la vannerie et la corde. En raison de son emplacement dans l'est du pays, les Taínos étaient les plus étroitement liés aux processus difficiles de conquête et de colonisation. Avec le début des distributions et des parcelles en 1514 , ils ont été soumis à des efforts extraordinaires d'exploitation, de construction et de travaux agricoles. Travail forcé, massacres, suicides en masse pour se sauver de la cruauté avec laquelle certains conquérants ont rempli leur mission, l'exode vers les îles et les îlots environnants, ainsi que certaines épidémies de maladies atypiques jusque-là, ont considérablement décimé la population autochtone , dont les seuls descendants à Cuba se trouvent dans des quartiers complexes de Guantanamo, près de Yateras . L'histoire comprend des affrontements organisés contre les Espagnols et les noms des chefs Hatuey et Guamá , en tant que premiers rebelles cubains. Cimetières autochtones Les cimetières autochtones sont sans aucun doute d'un grand intérêt pour l' archéologie . Par conséquent, leur étude permet d'approfondir considérablement la meilleure connaissance des premiers colons qui ont habité la région, mettant à jour de nouvelles découvertes sur différents aspects somatiques. et pathologiques, ainsi que leurs coutumes funéraires et les caractéristiques physico-anthropologiques de leurs premiers colons, dont on disposait initialement de peu d'informations. Sur l'île, avec l'avancement des travaux sur le terrain menés depuis de nombreuses années, certains sites précédemment signalés de ce type ont été étudiés et d'autres ont été découverts. Plusieurs cimetières autochtones sont actuellement connus, parmi lesquels: El Chorro de Maita(à Holguín ) [1], la Cueva de la Santa (à La Havane ), la grotte du Perico 1 (à Pinar del Río ) , le site Canimar Abajo (à Matanzas ), la grotte Calero et enfin les sites Marien 2 et Bacuranao La Havane . Des membres du groupe de spéléologie de Guamuhaya ont participé aux fouilles archéologiques effectuées dans ces deux derniers cimetières autochtones, ainsi que des membres d'autres groupes et archéologues déjà expérimentés du Centre d' anthropologie du ministère des Sciences, de la Technologie et de l'Environnement ( CITMA ). Site de Bacuranao En août 1997 , la cinquième campagne de fouilles archéologiques a eu lieu sur ce site situé dans la Cueva del Infierno , municipalité de La Havane à San José de las Lajas . A cette occasion, les restes de quatre personnes ont été retrouvés. Les inhumations concernaient deux adultes et deux enfants, l'un d'eux, un mineur, a été extrait en bloc pour être exposé au musée local. Cette fouille s'inscrivait dans la continuité de celle de 1995 , qui a abouti à la découverte d'un grand cimetière autochtone où 54 os complets ont été extraits. À cette occasion, la découverte incluait des ossements de 66 personnes, dont 57 âgées de moins de quatre ans, dans le cas de communautés de pré-agro-poterie à la tradition mésolithique qui peuplaient la région, avec une économie d’appropriation. La grotte de l'enfer n'était pas seulement utilisée par les communautés de ce degré de développement uniquement pour enterrer leurs morts, mais aussi comme lieu d'habitation selon les résultats de la dernière campagne, dans laquelle la présence de trois grands poêles utilisés était détectée pour la cuisson des aliments. D’autre part, d’autres groupes gentilicios plus développés ont également utilisé, apparemment à d’autres fins, cette grotte, qui serait également un lieu de chasse pour des groupes de poterie agricole de tradition néolithique, ayant trouvé de nombreux fragments de récipients en céramique . Marien site 2 Depuis les années 50, l'existence du site connu de Marien 2 est connue grâce aux travaux sur le terrain du groupe de Guamá à cette époque et aux travaux menés par le défunt archéologue cubain Ernesto Tabío . Le site de Marien 2 est situé très près de la baie de Mariel , dans une grotte. En 1992 , la première campagne de fouilles archéologiques de ce site a été réalisée, à partir de laquelle des restes de 50 personnes ont été exhumés, dont 11 adultes, 2 subadultes et 37 enfants. Certaines sépultures primaires et secondaires ont été extraites et, selon les mots du Dr Gabino La Rosa , responsable des fouilles, une relation très intéressante pourrait être vérifiée dans les pratiques sépulcrales. En effet, pratiquement tous les adultes étaient accompagnés d'enfants vision des aspects sociaux et culturels de ces groupes. En mars 1998 , la deuxième campagne de fouilles a été menée sur ce site. À cette occasion, 10 sépultures ont été réalisées, la plupart étant des enfants. Il a été possible de vérifier que la cavité possède à gauche une zone bien définie et délimitée qui a été utilisée pour les sépultures. , tandis que la zone de droite était habitée et qu’on trouvait un immense poêle avec les restes abondants de l’alimentation de ces groupes qui cueillaient, chassaient et pêchaient. Il y avait des restes de poisson , bivalves , coquilles de mollusques , jutías , etc. A cette occasion, la présence d'offrandes dans les sépultures est confirmée, consistant en des tracts d' Isognomus alatus , et l'une des sépultures (sur la photo) avait une grande cigua près du crâne. De plus, en ce qui concerne les coutumes funéraires, des preuves suffisantes obtenues de ce cimetière et d'autres cimetières autochtones étudiés s'accumulent, ce qui permet de nier la fabrication généralisée à Cuba dans les années 1940 et 1950 de sépultures avec la tête tournée vers l'est. Les sépultures ont été retrouvées avec une grande différence d'orientation des corps sans trouver de répétition absolue. Sur cette photo, la flèche qui indique le nord n'est pas exactement orientée est-ouest et la tête n'est pas orientée vers l'est mais vers le ouest. Toute la terre extraite a été passée à travers un tamis pour éviter la perte de petits os de phalange ou toute autre preuve possible de petites dimensions. Grâce à un criblage instantané, il est parfois détecté, par la présence de petites preuves, la proximité d'un enterrement, même lorsque l'excavatrice n'a pas remarqué, permettant à partir de ce moment, d'être encore plus méticuleuse et précise dans le travail Sites archéologiques autochtones de Guanajay Guanajay est une très ancienne municipalité dont la fondation date de 1650 , selon l'historien Luis Manuel Núñez, et qui aurait été fondée par les Espagnols sur un règlement autochtone. Le nom de lieu Guanajay lui-même est un terme aborigène, ce qui donne plus de vérité à la déclaration précédente. Mais cette ville ne portait pas toujours ce nom. Selon les anciennes chroniques, elle s'appelait autrefois Guamuhaya, un nom de lieu également autochtone. Entre 1990 et 1995 , le recensement archéologique national a été effectué dans toute l'île par le Centre d'anthropologie de la CITMA (Ministère des sciences, de la technologie et de l'environnement). Le Dr Gabino La Rosa Corso, archéologue cubain bien connu qui a travaillé à la fois en archéologie autochtone et coloniale, a dirigé la province de La Havane sous l'autorité de chaque province. Mariel qui partage leurs frontières avec Guanajay. Après la visite en 1991En ce qui concerne le Dr Gabino La Rosa, tout rapport de site ancien a été jeté à la source, aucune preuve matérielle cohérente n’ayant été trouvée lors de l’inspection. À partir de ce moment, intéressés par la révélation des secrets de l'histoire de Guanajuato, les membres du groupe de Guamuhaya ont commencé par des enquêtes archéologiques à Guanajay, en commençant par la carte topographique de la ville et en suivant les schémas de peuplement possibles, compte tenu des caractéristiques du territoire convenaient à cet effet, de préférence dans des endroits avec une source d’eau à proximité et dans des zones peu touchées par l’inondation des rivières ou des ruisseaux. Plusieurs levés de terrain ont été effectués dans différentes zones sans trouver de preuves de surface. Jusqu'au milieu de 1992, après de nombreuses recherches, les premières découvertes ont commencé. Grâce à l'orientation méthodologique et aux conseils du Docteur Gabino, nous avons réalisé en 1994 le premier rapport de site archéologique. Par la suite, le groupe a été renommé Groupe spéléo-archéologique jusqu'en janvier 2001, date à laquelle il a retrouvé l'ancien nom du Groupe spéléologique. étant donné que les activités purement archéologiques ne font pas partie des objectifs de la Société de spéléologie de Cuba. Le groupe ne se consacre désormais plus qu'à la visite, à la préservation et à la protection des sites découverts et rapportés par le groupe. Ainsi, à ce jour, trois sites archéologiques autochtones ont été découverts et signalés par le GEG, dont les preuves ont été analysées au Centre d'anthropologie de la CITMA. Parmi eux, deux sites en plein air, les deux colonies autochtones (Guanajay 2 et Jobo), et un dans une grotte qui est un camp de chasse (Guanajay 1). La colonie autochtone Guanajay 2 présente un grand atelier de silex et constitue un site de Preagroalfarero de tradition mésolithique (mésolithique moyen), c’est-à-dire une communauté de gentilicia dotée d’une économie d’ appropriation. Les spécialistes ont donné la même affiliation au site Guanajay 1, tandis que le site Jobo est un Protoagroalfarero (mésolithique supérieur), une communauté qui travaillait dans l’agriculture et qui avait une poterie naissante. Ce site constitue jusqu'à présent le Protoagroalfarero le plus occidental du pays. Il s'agit du site le plus proche du genre, celui de Banes 2, situé dans la municipalité voisine de Caimito . Le plus ancien règlement autochtone de Cuba Le site archéologique Los Farallones de Seboruco, site le plus archaïque de la colonie aborigène de l'archipel cubain, constitue un vestige historique précieux pour le savoir humain. Il est situé dans la municipalité de Mayarí, dans la province orientale d'Holguín, lieu d'une extraordinaire valeur scientifique et culturelle. qui intègre essentiellement le patrimoine culturel du peuple cubain. [2] Sa découverte, réalisée par le Dr Antonio Núñez Jiménez, chercheur décédé, date de 1939. La découverte a révélé la culture la plus ancienne de Cuba, qui remonte à environ six mille ans. Les premiers habitants de notre île appartenaient au groupe de protocole, qui ne connaissait pas l'utilisation de l'agriculture ni de la céramique et ignorait le vernis des pierres, mais ils connaissaient le secret de la sculpture sur bois. [2] Leurs ustensiles de travail consistaient en couteaux, harnais, manutentionnaires et autres instruments faits de pierres de silex laquées, pièces longues et tranchantes qu'ils utilisaient dans leurs tâches de subsistance et les plaçaient dans la phase pré-agricole, car elle se divisait en trois phases appelées: Premiers, moyens et tardifs, les premiers correspondent aux résidences de Levisa et de Seboruco, caractérisées par l’industrie des laques et des pointes en silex. [2] L’économie de ces groupes indocuans proto-arctiques, premiers habitants de Cuba, dépendait de la chasse, de la pêche et de la cueillette, de sorte que leurs communautés étaient généralement nomades. Dans le Seboruco Farallons, aujourd'hui monument national, on a trouvé des traces de bois sculpté, qui assume que sa fonction est dédiée à des activités rituelles correspondant à sa structure, car elles ressemblent à des sceptres. Selon des recherches, des groupes aborigènes de Proto-Arctique ont été abrités dans des grottes pour des pratiques nécrologiques. Les enterrements ont été faits avec un développement rituel; les corps les ont enterrés, plaçant des objets lithiques à côté d'eux comme offrandes funéraires. [2] Seboruco est composé de plusieurs grottes où des pictogrammes sont apparus pour la première fois dans la partie orientale. Ils sont toujours en bon état et vous pouvez voir des dessins en noir et blanc avec un style plutôt abstrait et des traits linéaires très simples qui montrent l'art rupestre de notre culture préhistorique, considérée comme la plus ancienne manifestation artistique de notre pays. [2] D'autres fouilles effectuées le 18 mai 1979, dirigées par Núñez Jiménez, accompagné de José A. Viciedo et Carlos Betancourt, ont apporté de nouvelles contributions d'une plus grande valeur pour continuer à clarifier l'ancienne culture aborigène. À une profondeur de 0,30 mètre, ont été découverts des os et d’autres pièces archéologiques révélant une partie de leur régime alimentaire. À la surprise des chercheurs, un squelette a été découvert que, malgré sa détérioration au fil du temps, sa position accroupie pouvait être reconstituée et que son appartenance à une femme de 13 ans aurait été estimée. [2] Les Seboruco Farallones représentent une grande importance archéologique. Nous avons trouvé ici les sites Seboruco III, IV, V, VI et VII, ceux qui entourent la falaise et qui sont les seules zones qui semblent avoir été habitées jusqu'à présent. De plus, comme ils sont très homogènes, ils appartiennent au groupe proto Ancien de notre histoire aborigène. Farallones de Seboruco est internationalement reconnu pour être un lieu classique et typique de la recherche dans la région antillaise et en particulier pour notre pays. Il a un conclave de base dans l’environnement géobiologique et une pertinence culturelle indiscutable et indiscutable pour les générations futures et pour le développement des recherches qui y sont effectuées et qui ne sont pas encore terminées. [2] Les étapes Stade de préalgroalpharera (6000 à 1500 ne) Il comprend tous les groupes autochtones cubains qui n’ont pratiqué ni l’agriculture ni la céramique. Autrement dit, leurs activités économiques ont été réduites à la cueillette de fruits, de tubercules, de racines sauvages ainsi que de mollusques terrestres et marins. Ils pratiquaient la pêche en mer et en rivière, ainsi que le petit gibier. Dans sa phase la plus précoce, il est possible que certains groupes aient pratiqué la chasse d'animaux d'une taille appréciable, ultimes survivants de la faune terrestre éteinte du pléistocène, ainsi que de certains grands mammifères marins. Phase précoce (6000 an - 1000 an) Les plus anciens aborigènes cubains sont inclus dans cette phase. Certains archéologues cubains les appellent "protoarchiques". Ces très vieux groupes autochtones ont été découverts au cours de la dernière décennie et, par conséquent, leur connaissance n’est pas encore très vaste. Dans des fouilles effectuées en 1973 par des archéologues de l'Académie des sciences, conseillés par le Dr J. Kozlowski, de l'Université de Cracovie, sur le site de Lévisa I, découvert par nous en 1964, dans un abri rocheux des Farallones del Río Levisa - à une courte distance au sud des mines de Nicaro, province de Holguín - des instruments de pierre sculptés ont été retrouvés dans la couche la plus profonde de la fouille (c’est-à-dire faite de pierres très dures: silex, chert, calcédoine, frappés par l'homme avec une autre pierre, ils produisent des coquilles pointues, parmi lesquelles de grands couteaux, des grattoirs, des burles, etc. Il est à noter que cet ensemble d'artefacts en pierre ne correspond en aucune façon au trousseau des groupes autochtones cubains que nous connaissions jusque-là. Dans cette couche plus profonde, ont été retrouvés des fragments de charbon de bois de très vieux poêles qui, soumis à une analyse au radiocarbone (C-14) dans un laboratoire de physique nucléaire, ont jeté une date de cinq mille cent quarante ans . Calibré cette date par des méthodes encore plus précises nous a donné une date très proche de six mille ans. Ces instruments sont composés de grandes laques, feuilles et pointes, ainsi que de grands noyaux de pierre. En ce qui concerne l’arrivée à Cuba de ces hommes primitifs, il est très intéressant de noter que, selon nos études menées en 1979, le niveau de la mer était alors à une vingtaine de mètres au-dessous du niveau actuel. La configuration côtière de certaines îles des Caraïbes, notamment des Bahamas et de Cuba, était très différente de celle que nous voyons sur les cartes géographiques actuelles, mais il s’agissait toujours d’îles distinctes les unes des autres. La géologie nous dit que l'union des îles des Caraïbes avec les régions continentales s'est produite il y a plusieurs millions d'années; Par contre, les calculs les plus audacieux des spécialistes concernant la présence de l'homme en Amérique ne dépassent pas cinquante mille ans. Ensuite, ces premiers Amérindiens devaient arriver aux Antilles, Bien que l’on ait beaucoup étudié la question de l’origine de ces anciens aborigènes cubains et des itinéraires qu’ils ont empruntés pour se rendre sur nos côtes, c’est quelque chose que nous ne savons pas encore avec certitude. Trois itinéraires potentiels sont toutefois indiqués: a) du sud-est des États-Unis aux Bahamas et de là à Cuba dans la mer des Caraïbes, jusqu'en Jamaïque et de là vers Cuba, et c) de la côte nord-est du Venezuela jusqu'aux petites Antilles, puis dans les grandes Antilles jusqu'à leur arrivée à Cuba. Les recherches futures clarifieront sûrement ce problème intéressant auquel nous sommes confrontés aujourd'hui. Un autre site archéologique qui correspond également à cette phase précoce (ou proto-archaïque) du stade de Preagroalfarera est celui des Seboruco Farallones. Il est situé à cinq kilomètres au sud-sud-est de la ville de Mayarí, dans la province d'Holguín. En 1943, le Dr Antonio Núñez Jiménez découvrit ce site et procéda à des fouilles. Dans les années 1960 et 1970, des archéologues de notre Académie des sciences l'ont explorée et fouillée à diverses occasions. Maintenant, en raison de leur importance, nous allons nous référer spécifiquement aux fouilles qu’ils ont effectuées en 1978. Ces travaux ont fourni des données précieuses sur certains aspects de la culture de ces indocubans primitifs, ainsi que sur l’environnement écologique, y compris celui géologique. Dans le matériau collecté, des artefacts en pierre sculptée apparaissent. Ils constituent le type le plus vaste et le plus primitif trouvé dans notre pays jusqu'à cette date. Dans la littérature archéologique publiée jusqu'à présent sur les Antilles ou l'Amérique centrale, des artefacts en pierre similaires ne sont pas connus. Ces instruments sont constitués de grandes laques, de feuilles et de pointes, Il a été possible de constater l’existence de plusieurs étapes de développement dans la technique de fabrication d’outils en pierre sculptée. Un résultat important a été de découvrir la source d'approvisionnement en silex d'où les hommes primitifs qui habitaient le site de Seboruco ont obtenu la matière première pour fabriquer les outils en pierre avec lesquels ils ont chassé et travaillé le bois. Un des problèmes qui a été soulevé, parmi les résultats de ces fouilles - en ce qui concerne la chasse -, était la présence de grandes pointes de pierre taillées et son implication possible dans le vieux médium correspondant à ce site archéologique, dans la mesure où période (six mille ans ou plus) il y avait de grands mammifères marins sur la côte, les soi-disant " phoques tropicaux " ( Monachus tropicalis ) et, à l'embouchure des rivières, le lamantin ( Trichecizus manatus ) . A cette époque également, il pourrait y avoir de grands mammifères terrestres à l'intérieur du pays, derniers représentants de la faune pléistocentrique; c'est le cas des grands paresseux (Megalocnus rodens) dont les restes osseux ont été retrouvés à une certaine fréquence, mais dont l'association avec des preuves humaines semble encore douteuse. Malheureusement, aucune des expéditions sur le site de Seboruco n'a pu obtenir d'échantillons pour pouvoir dater ce site très intéressant via radiocarbone (T-14). Cependant, certains chercheurs estiment que l'âge de Seboruco, en particulier celui du plus jeune âge, pourrait être bien supérieur à six mille ou sept mille ans. Pour cela, ils reposent fondamentalement sur la typologie des grands outils de pierre taillée qui y sont apparus. Phase moyenne (2000 à 1000 ne) Le groupe culturel autochtone appelé Ciboney-Guayabo Blanc appartient à cette phase de la phase de Preagroalfarera. Ces aborigènes n'étaient pas connus; directement ou indirectement, par les conquérants espagnols. Le groupe porte ce nom car ses premières manifestations sont apparues en 1913 sur le site de ce nom, situé dans le marais oriental de Zapata, au nord-est de la baie des Cochons, sur la côte sud de la province de Matanzas. Les aborigènes qui correspondent à cette phase moyenne des Preagroalfarera, en ce qui concerne leurs activités économiques, étaient des collectionneurs de fruits et de racines sauvages ainsi que de mollusques marins et terrestres; ils pratiquaient la pêche et le petit gibier (par exemple, des jutías). Leurs sites d’habitation se manifestent par des tas de déchets, dont la taille varie de la surface et des déchets de petite taille à de grands monticules atteignant plusieurs dizaines de mètres de diamètre et deux ou trois mètres de hauteur. Les preuves de ces hommes primitifs se retrouvent dans toute l'île, presque toujours dans des lieux côtiers. Parfois, ils vivaient dans des grottes et des abris rocheux, mais ils le faisaient aussi à l'extérieur. Il existe de nombreux outils fabriqués à partir de la coquille de grands mollusques marins, tels que les gouges, avec lesquelles ils travaillaient le bois. La grande demeure située en face de la grotte de Funche, dans la péninsule de Guanahacabibes, à l’ouest de la province de Pinar del Río, constitue un exemple typique de pièce aborigène de cette phase intermédiaire. En 1966, les archéologues de l'Académie des sciences de Cuba y ont effectué des fouilles approfondies et détaillées. Il y avait ce dépôt de déchets aborigènes d’environ quarante-six mètres sur son axe est-ouest et quarante-deux mètres sur son axe nord-sud, sa hauteur maximale étant d’un mètre et demi. À la suite de ces travaux, de nombreuses preuves constituées d'un grand nombre d'artéfacts en pierre et de coquilles de grands mollusques marins ont été recueillies, le tout étant facturé à l'état brut. Parmi les premiers se trouvent les marteaux et les marteaux, qui ont été utilisés pour écraser les semences; entre les deuxièmes, les gouges et les vaisseaux. Aucun outil de pierre sculpté n'a été trouvé. L'examen des restes de nourriture a montré un grand nombre d'os de différentes espèces de jutias, de nombreuses coquilles de crabe et d'abondantes coquilles de mollusques marins de différentes tailles. Les échantillons organiques collectés sur ce site ont été analysés au moyen de carbone radioactif (C-14), qui a donné des dates d'un âge variant entre quatre mille et deux mille ans. En ce qui concerne les pratiques funéraires pratiquées par les aborigènes du groupe Ciboney-Guayabo Blanco, typiques de cette phase moyenne, nous disposons de nombreuses informations sur différents sites; mais, à titre d'exemple, nous dirons que des archéologues de notre Académie des sciences ont fouillé durant les années 1971 et 1972 l'importante grotte funéraire connue sous le nom d'El Perico I, située près de Bahía Honda, province de Pinar del Río. Là-bas, ils ont exhumé environ 51 sépultures d’Autochtones de Ciboney-Guayabo Blanco. Quarante de ce total étaient de nature primaire, c'est-à-dire qu'ils avaient été enterrés directement dans le sol sans toucher à tous les restes des individus; onze étaient de nature secondaire, c'est-à-dire que le mort avait été enterré, mais que plus tard les aborigènes l'avaient déterré. Les restes humains fouillés correspondaient à trente-trois enfants et dix-huit adultes. Il n'a pas été observé que les inhumations étaient orientées par rapport à un point géographique donné. Les sépultures primaires sont apparues dans les couches moyenne et tardive; celles secondaires, très anciennes et très recouvertes de poussière rouge obtenue à partir du minéral appelé hématite, formaient des particules et étaient bien broyées. Tous les crânes collectés ne présentaient pas de déformation artificielle, caractéristique culturelle de tous les aborigènes pré-agro-poteries et proto-agricoles de Cuba. Phase tardive (100 an - 1500 an) Le groupe autochtone Ciboney-Cayo Redondo correspond à cette phase tardive de Preagroalfarera. Ce groupe culturel s’appelle ainsi car, en 1941, la première fouille systématique d’un site de ce complexe culturel a été réalisée à Cayo Redondo Cay, située le long de la côte marécageuse et de la mangrove très proche de La Fe, dans la baie de Guadiana. Partie nord de la péninsule de Guanahacabibes, province de Pinar del Río. Les aborigènes qui correspondent à cette dernière phase de Preagroalfarera, en ce qui concerne leurs activités économiques, ont récolté des fruits, des racines et des tubercules sauvages, ainsi que des mollusques marins et terrestres; ils pratiquaient la pêche et le petit jeu de jutías et d'oiseaux. Ces hommes ont vécu sur tout notre territoire à partir de 100 ans av. n. e. jusqu'à l'arrivée des Espagnols; Cependant, il est probable que certains groupes ont continué à vivre jusqu'au dix - septième siècle dans des endroits reculés de notre archipel. Selon les chroniqueurs, ils ont eu très peu de contacts avec les conquérants. Leurs restes apparaissent généralement dans des sites côtiers et boueux. Les principales régions de Cuba où se trouvent ses résidents sont la côte sud des provinces de Camagüey et de Las Tunas, ainsi que les régions entourant l'embouchure du fleuve Cauto, dans la province de Granma. Dans toutes ces régions, les témoignages laissés par ces indocubans sont très abondants. Selon les témoignages obtenus par les archéologues, les outils utilisés par ces hommes sont constitués en premier lieu par des instruments en pierre tels que des pilons et des mortiers, utilisés pour broyer et broyer les grains et les graines de plantes sauvages. Certains de ces artefacts présentent une symétrie bilatérale et un bon état de surface. Ils font également bon usage des instruments en pierre sculptée, utilisant du silex, tels que des couteaux et des grattoirs. Les outils fabriqués à partir de la coquille de grands mollusques marins, tels que les gouges, utilisés pour travailler le bois sont abondants. L'utilisation faite par ce groupe de colorants minéraux est remarquable; par exemple, à partir d'hématite et de limonite, avec lesquelles ils ont obtenu respectivement des poudres rouges et jaunes. Les pratiques funéraires de ce groupe humain étaient, dans certains cas, beaucoup plus complexes que celles des aborigènes correspondant aux phases précoce et intermédiaire du stade de Preagroalfarera; Les résultats des fouilles effectuées en 1941 par le Dr R. Herrera Fritot dans la grotte funéraire de Los Niños, à Cayo Salinas, dans la baie de Buenavista ou Caguanes, dans la province de Sancti Spíritus, sur la côte nord, en sont un exemple. Il y avait une sépulture collective intéressante de treize enfants, âgés de un à dix ans. Le Dr Herrera nous en a parlé: «À chaque squelette, ils ont placé une boule lithique, dont la taille est liée à l'âge de l'individu». Les sépultures étaient disposées de manière plus ou moins circulaire, ayant pour centre un enfant, apparemment plus important, car il présentait comme offrande deux "daggers" en pierre et une boule de pierre, la plus polie de toutes. Ces "poignards" et ces balles de pierre semblent être étroitement liés aux sépultures des aborigènes de cette dernière phase de Preagroalfarera. Les crânes de ces hommes, comme ceux des stades précoce et intermédiaire de ce stade de Preagroalfarera, ne sont pas déformés. Stade du protocole (100 an à 1000 ne) La connaissance que nous avons des aborigènes qui correspondent à ce stade n’est pas très large, car ils ont commencé à étudier au cours des dix dernières années. On peut dire que cette étape est transitoire entre les étapes de Preagroalfarera et d’Agroalfarera; Dans ce document, certaines communautés autochtones cubaines présentent un trousseau qui correspond à la phase tardive du stade de Preagroalfarera, c’est-à-dire similaire à celui de Ciboney-Cayo Redondo, mais avec des preuves d’une utilisation limitée de récipients en céramique. , presque toujours petites et simples, par exemple, avec très peu de décorations, si elles en ont. Dans ce trousseau, le "burén" n'apparaît jamais: gâteau en céramique utilisé par les agroalfareros autochtones pour faire rôtir du pain de manioc fabriqué à partir de manioc et qui, pour les archéologues, est une indication indirecte de l'agriculture de ce tubercule déjà bien développé. L'abondance de petits outils à pied sculptés: couteaux, grattoirs, burles, etc., que les spécialistes appellent "microlytique" est une autre preuve caractéristique de cette étape de Protoagrícola, en particulier à ses débuts et à ses étapes intermédiaires. En 1964, un site est localisé: l’abri rocheux d’Arroyo del Palo, très proche de Mayarí, province de Holguín, où se trouve un. trousseau typique du Ciboney-Cayo Redondo qui correspond, on le sait, à la phase tardive du stade de Preagroalfarera, mais avec une présence très abondante de restes de récipients en céramique, parfois très décorés mais uniquement au moyen de simples incisions; des céramiques très différentes de celles observées au stade Agroalfarera de Cuba. Bien que nous ayons collecté de nombreux fragments de récipients en céramique sur ce site, pas un seul fragment de burguer n'est apparu. La même chose s’est produite dans d’autres localités de la province de Holguín: Mejías et Santa Rosalía I. À cette époque, nous pensions que ces vestiges correspondaient à une nouvelle culture autochtone de Cuba: ce que nous appelons le "Mayarí". Cependant, nous croyons aujourd’hui qu’en réalité, Des études réalisées dans les années soixante-dix par l'archéologue Ramón Dacal, de l'Université de La Havane, sur les sites de Canímar et de Playitas, près de la baie de Matanzas, ainsi qu'à Aguas Verdes, sur la côte nord de la province de Guantanamo, Ils nous donnent ce qui semble être les premières manifestations du stade Protoagrícola. Ces aborigènes semblent avoir habité l’ensemble de l’île, manifestant une certaine préférence pour les sites proches de la côte à leurs débuts, et à l’intérieur des terres à un stade avancé. La durée de l’étape de la Protoagrícola à Cuba est d’un peu plus d’un millénaire, à partir de l’an 100 environ . n. e. jusqu'à 1000 n. e. ; Comme vous pouvez le constater, il transcende le temps et le développement économique pour se rapprocher des pré-agroalfareras classiques et des manifestations précoces d’agroalfareras. Les crânes de ces hommes ne sont pas déformés. Stade Agroalfarera (800-1500) Dans cette courte phase, puisqu'elle ne couvre que sept cents ans, toutes les communautés autochtones cubaines dont l'économie de subsistance reposait principalement sur l'agriculture de racines, tubercules et céréales sont incluses; mais parmi ces cultures, le manioc prédominait et, un peu moins, la patate douce. Ils ont également pratiqué la cueillette, la pêche et le petit gibier. Cette étape correspond aux peuples autochtones les plus étudiés et les plus connus de Cuba. Les systèmes agricoles pratiqués par les potiers agricoles de cette île, ainsi que ceux des autres Grandes Antilles, étaient au nombre de deux: celui du slash, le plus répandu, le plus ancien et le moins efficace, et celui des terrils, le Plus récent et plus efficace. La récolte consistait à défricher certaines zones des forêts, à abattre des arbres, à nettoyer les arbustes et à achever le nettoyage des terres au feu. Pour couper les arbres, ils ont utilisé les haches de pierre polie. Ensuite, ils ont enlevé avec un bâton pointu (le coa) la terre ainsi obtenue et y ont planté leurs cultures. Après deux ou trois ans, à cause de l'épuisement des sols, ils avaient besoin de nouvelles terres et devaient répéter les opérations déjà indiquées dans les zones adjacentes de la forêt vierge. Ce système a été utilisé depuis son arrivée à Cuba, vers le VIIIe siècle. La culture des tas, semble-t-il, a commencé à être utilisée dès le onzième siècle. Cela nécessitait un terrain plat et dégagé de végétation naturelle. Avec le coas, ils ont enlevé le sol et soulevé de petits monticules de terre meuble, qui faisaient deux ou trois mètres de diamètre, formant des rangées et séparés les uns des autres de quelques mètres. Dans ces petites buttes, on a semé des tubercules de manioc ou des vignes de patate douce. Ce système de culture donnait des récoltes, par unité de surface, beaucoup plus grandes que celles obtenues par le système à barres. Mais malgré la plus grande efficacité de la culture des tas, les aborigènes ont continué à utiliser la culture des pâturages, par exemple sur les pentes des collines, parce que les fortes pluies, dans ces conditions, ont traîné les semées de tas Les aborigènes du stade Agroalfarera utilisait à profusion les poteries bien développées, principalement sous la forme de récipients, qui servaient à la cuisson des aliments et à la conservation de l'eau, ainsi que des burens, qui étaient utilisés pour griller le pain au manioc fabriqué à partir de manioc râpé. Les archéologues ont appelé ces agriculteurs et potiers indocubans "subtaínos" et "tainos", qui se préoccupent plus ou moins du développement socio-économique atteint par ces communautés, ainsi que de certaines caractéristiques qui présentent leur trousseau, principalement dans les éléments décoratifs de la céramique. . "... mais parmi ces cultures, le manioc prédomine et les patates douces un peu moins; ils ont également pratiqué la récolte, la pêche et le petit gibier." Les subtaínos et les taínos correspondent à la grande famille autochtone sud-américaine appelée "aruaca". Les chroniqueurs des Indes, principalement le père Las Casas et Gonzalo Fernández de Oviedo, nous ont légué de précieuses informations sur ces communautés primitives antillaises; mais ces travaux concernent presque exclusivement les aruacos, les agriculteurs et les potiers qui vivaient sur l’île de Hispaniola. Les commentaires portent naturellement sur la situation dans cette région au moment de la découverte et des premières années de l’année. la conquête. En revanche, les travaux archéologiques réalisés depuis le siècle dernier, mais surtout ceux réalisés au cours des dernières décennies de ce vingtième siècle, nous fournissent des données de plus en plus précises sur ces communautés primitives. Nous savons ainsi que l’introduction de la céramique et de l’agriculture aux Antilles a eu lieu au début de notre ère, c’est-à-dire il ya quelques jours. les années Les peuples autochtones du groupe arúaco, au développement relativement important de l'agriculture et de la poterie, ont alors quitté la péninsule de Paria (sur la côte nord-est du Venezuela) et ont commencé à émigrer vers les Petites Antilles. Ils sont arrivés à Porto Rico vers 150 n. e. , d’où ils se sont progressivement étendus à travers les grandes Antilles et les Bahamas, sur une période de plusieurs siècles. L'arrivée à Cuba des premiers groupes de sous-marins remonte à une antiquité bien plus grande qu'on ne le croyait il y a quelques années. La datation au radiocarbone (C-14) obtenue en 1963 par des archéologues de l’Académie des sciences de Cuba, dans une résidence de la région de Banes, dans la province de Holguin, a servi de base à des estimations permettant d’indiquer que l’arrivée de ces aborigènes à notre pays doit avoir eu lieu au huitième siècle . Au cours de nombreuses années, les agriculteurs et les potiers autochtones se sont installés dans l'est et le centre de Cuba après leur arrivée d'Hispaniola. ils l’ont surtout fait dans la région de l’actuelle province de Holguin, où ils ont atteint leur développement démographique maximal. Les archéologues des régions de Guantánamo, de Holguín, de Santiago de Cuba et de Gramna ont recueilli des témoignages matériels du groupe de sous-dénominations, très abondants. à divers endroits à Camagüey et Ciego de Ávila; et dans certains endroits de Cienfuegos, Sancti Spíritus et Villa Clara, et très peu dans celui de Matanzas. Ces matériaux ont été collectés à partir de résidus qui, en raison de leur magnitude, indiquent qu'ils sont de véritables sièges de colonies. En revanche, dans les provinces de La Havane et de Pinar del Río, seuls des vestiges de petites villes ou des preuves isolées ont été obtenus à ce jour. Seuls des objets isolés et occasionnels correspondant à ces groupes d'indocuban ont été trouvés sur l'île de la jeunesse. L’étude des sites d’habitation de ces agroalfareros autochtones, réalisée par des archéologues, Bien que certains villages aient été construits le long de la côte, la plupart apparaissent à l'intérieur des terres, mais non loin de la mer. Sa chambre dans les grottes semble avoir été sporadique, mais celles-ci étaient principalement utilisées pour déposer leurs morts ou comme lieux de certaines cérémonies religieuses. Les maisons des agroalfareros autochtones, selon les chroniqueurs, avaient un corps cylindrique et un toit conique; les murs étaient formés de roseaux et les toits couverts de feuilles de palmier; ces maisons ont été appelées "caneyes" par les indocubans. Ils en ont également fait des rectangles, très semblables aux cabanes de nos paysans; mais cette forme n'était pas très fréquente. Ils ont également construit des hangars avec des bâtons et des toits de feuilles de palmier, qu'ils utilisaient, entre autres, pour protéger les canoës. Les témoignages matériels trouvés dans les habitations de ces agroentrepreneurs autochtones montrent que leur trousseau était très abondant et varié. On y trouve un grand nombre de fragments d'artefacts en céramique, en pierre, en coquille et en os. Nous savons qu'ils ont utilisé le bois pour fabriquer divers objets, parmi lesquels des canoës se détachent; ils étaient des vanniers qualifiés et dominaient les techniques textiles; Les Espagnols nous parlent de la fabrication de hamacs avec des fils de coton, ainsi que d’autres objets utilitaires. Comme nous l'avons dit, les preuves en céramique sont très abondantes, avec des restes de récipients de tailles et de formes variées, certains très décorés, qu'ils utilisaient pour cuire leur nourriture et stocker de l'eau. Dans la majorité des cas, Ces techniques n'incluent pas l'utilisation de peintures. Les autres artefacts en céramique très fréquents sont les burenes, constitués de disques en argile, dont le diamètre varie entre trente et soixante centimètres et une épaisseur comprise entre un et demi et quatre centimètres. La surface supérieure du disque était polie, sur laquelle ils déposaient la pâte de manioc râpée d'où le gâteau casabe sortait après la cuisson. Les instruments de pierre sont nombreux et variés. Parmi eux, nous soulignerons les axes de la pierre polie, appelés "axes pétaloïdes". Comme nous l'avons dit, cet instrument était essentiel pour la préparation de leurs champs, mais pouvait également être utilisé pour la guerre. Certains, très bien finis, ont dû être utilisés à des fins cérémonielles. Celles-ci atteignent un haut degré de valeur esthétique. Les marteaux ou les marteaux de pierre sont abondants. La plupart de ces instruments sont constitués de pierres ou de cailloux très durs, utilisés dans leur état naturel; Bien que certains aient des formes géométriques: cubique, discoïde et rectangulaire. Ils étaient employés pour battre ou écraser. Les mortiers et les pilons en pierre apparaissent parfois; Ce dernier peut être évasé ou cylindrique et de différentes tailles. Ils apparaissent également dans le trousseau agroalfarero, sous une forme peu abondante, de très belles amulettes ou ornements. Parmi elles, les soi-disant "idoles de pierre" se distinguent, sous la forme d'entités anthropomorphes ou anthropozoomorphiques, c'est-à-dire avec des caractéristiques humaines et animales. Il s’agit presque toujours d’une silhouette humaine accroupie, les bras attachés sur les côtés et les mains sur le ventre. Les organes génitaux masculins sont très visibles. Ces idoles ont un foret transversal, à la hauteur des épaules, qui doit avoir été utilisé pour les suspendre. Le matériau de pierre utilisé est; En règle générale, le quartzite et la jadéite, bien que certains faits aient été découverts concernant la carapace de grands mollusques marins ou des os d'animaux, tels que le lamantin. En examinant les preuves de gaspillage alimentaire dans les résidus agroalimentaires, nous ne trouvons que des restes d’aliments d’origine animale, qui varient en fonction de nombreux facteurs, tels que la proximité ou non de la côte du site de la chambre, l’abondance ou le manque de certaines espèces. Faunic, etc. Mais, en général, nous trouvons des os de jutia, lamantin, oiseaux, poissons, tortues et autres reptiles, ainsi que des coquilles de mollusques, terrestres et marins; aussi des carapachos de crabes et autres crustacés. Des preuves indirectes de l’alimentation des plantes sont fournies par la présence abondante, presque toujours, de fragments de céramique de burenes, ce qui, pour les archéologues, est révélatrice de l’agriculture du manioc. Bien que le matériel osseux humain recueilli dans les sites de poterie agricole, subtain et taino, ne puisse pas être considéré comme très abondant, nos anthropologues physiques considèrent que tous leurs crânes apparaissent avec une déformation artificielle frontoccipitale, du type classé tabulaire oblique. Cette pratique culturelle de déformation crânienne n'apparaît qu'à Cuba, associée aux aborigènes du stade Agroalfarera. Les autres Amérindiens cubains ont un crâne normal, c'est-à-dire non déformé. [3] Croyances religieuses Avant la conquête et la colonisation de Cuba, la population autochtone n’avait pas un degré de développement comparable à celui d’autres cultures précolombiennes, telles que les Mayas, les Aztèques ou les Incas. Les indigènes de Cuba n'ont pas construit de grands temples ou de villes. Les plus avancés, les Taínos, ont construit des communautés appelées bateyes, avec des maisons appelées bohíos, caneyes et barbecues. Ils travaillaient dans l'agriculture et la pêche et ils étaient potiers. Ils avaient leurs propres croyances religieuses rudimentaires, mais ils sont difficiles à connaître car ils ne laissaient aucune trace. L'une des manifestations les plus curieuses était la mythologie indigène elle-même, en particulier Taino, qui était loin des manifestations complexes des cultures mésoaméricaines. La mythologie Taino a été en grande partie basée sur le Soleil, la Lune, l'origine de la femelle et l'inondation. Certaines croyances suggéraient que le Soleil, la Lune et l'homme avaient émergé des grottes ou des grottes, peut-être parce que la plupart de leurs ancêtres n'avaient pas créé de colonies de peuplement et qu'ils avaient pu s'abriter du temps qu'il faisait dans les grottes. Leurs croyances religieuses étaient élémentaires et consistaient en une combinaison d' animisme , de cémiisme, de chamanisme ou de béhiquisme; le culte des ancêtres et le totémisme ou le gaspillage totémique. [4] Animisme C'était la croyance selon laquelle des objets inanimés possédaient une vie terrestre ou extraterrestre ou étaient dotés de certains pouvoirs magiques. Cémiisme C’était une croyance légèrement plus complexe, selon laquelle le cemi constituait un pouvoir surnaturel, mystérieux et énigmatique, une véritable divinité, qui contrôlait le destin de l’homme et de la nature dans ses manifestations les plus diverses. Les spécialistes considèrent que la mythologie autochtone a été intégrée par plus de 30 personnages, dont une quinzaine de dieux ou divinités et plus de 20 demi-dieux. Selon certains spécialistes, Atabex, déesse mère de l'être suprême et déesse de la fertilité, se démarquait parmi les divinités; Boynay, dieu de la pluie; Maidabó, dieu de la sécheresse; Taiguabó, l'esprit de l'eau; Baibrama ou Mabuya, dieu maléfique et l'une des voix pour définir le mal; et d'autres demi-dieux, tels que Opía, une sorte d'esprit qui servait d'intermédiaire avec certains dieux. Chamanisme ou behiquismo C'était la croyance dans les pouvoirs magiques des behiques, c'est à dire les sorciers ou les prêtres. Ils avaient le pouvoir de parler avec les morts et de deviner l'avenir. Soi-disant, lors de différentes cérémonies religieuses, telles que le cohobao cojoba, les behiques maintenaient la communication avec l'autre monde. Le cohoba consistait en l'absorption de la poussière de tabac par un tube en forme de Y, ainsi que d'autres jus de fruits et ragoûts aux herbes, après un jeûne pouvant durer plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Il a d'abord été pratiqué par le chef puis par toutes les personnes présentes, assis dans un silence respectueux. Quand tout le monde était ivre ou en extase, le behique répondait aux questions posées sur le passé, le présent et l'avenir, les maux ou les maladies, la naissance d'enfants et d'autres problèmes. En plus de leurs pouvoirs magiques, les behiques combinaient ces facultés avec celles de guérisseurs ou de médecins, qui jeûnaient avec leurs patients et buvaient les mêmes herbes ou purgatifs. Si les patients décédaient, ils devaient en quelque sorte endurer la fureur des proches du défunt. Culte des ancêtres Cela venait de la conviction que les morts, après avoir acquis cet état spécial, sont revenus dans le monde en tant qu'esprits et ont non seulement fait une apparition, mais ont aidé ou maudit des parents vivants. Chaque groupe familial avait le sien et le représentait sous forme d'idoles avec des figures humaines, des symboles magiques, des amulettes et d'autres objets consacrés. Bien que les colons cubains pré-colombiens ou préhispaniques n'aient pas construit de temples à proprement parler, ils ont pratiqué des cérémonies festives et religieuses qu'ils ont appelées areítos. C'étaient les célébrations par excellence des Taínos. Agglomérés dans le batey ou centre du village, ils dansaient et chantaient au son des tambours pendant de longues heures, sous la direction d'un maître de cérémonie appelé tequina, qui marquait à la fois le pas et le rythme et dictait le thème que le choeur répétait. Au cours de ces cérémonies religieuses, les généalogies des différents chefs et leurs œuvres les plus célèbres ont été récitées, les souvenirs du bon et du mauvais temps passés, et d'autres sujets d'intérêt pour la transmission du savoir oral de l'ancienne génération à l'ancienne. jeunes. Les chroniqueurs de la conquête ont indiqué que les aborigènes étaient de bons danseurs. Ils ont chanté à l'unisson et pendant que des centaines de participants dansaient et racontaient des histoires, le reste suivait le rythme de la danse et des chansons. et très peu avaient tort. Ces croyances et manifestations culturelles, de préférence Taínos, ont été assimilées par les Siboneyes, une ancienne communauté autochtone, bien que moins développée. Totemisme ou déchets totémiques C'était la manifestation d'un système de croyance selon lequel il existait une sorte de parenté surnaturelle entre un individu - ou même une partie ou la totalité d'une tribu de peuples autochtones - et un totem. Ces totems, en général, étaient des figures de diverses espèces d’animaux et, dans la minorité des cas, des plantes et des objets minéraux, considérés comme des emblèmes protecteurs de l’individu ou de la tribu, et parfois comme leur ancêtre ou leur parent. On s’assure que, dans certains cas, il y avait des totems spéciaux pour les chefs et les behiques; certains spécifiques à chacun des sexes et d'autres communs à tous les membres d'une tribu. Les expressions des cérémonies autochtones et leurs coutumes funéraires considérées comme sacrées sont également intéressantes. Les funérailles indigènes, bien sûr, diffèrent grandement des formes ultérieures introduites par la conquête et la colonisation. Même ceux des cultures Siboney et Arauaco (Taínos et subtaínos) se distinguaient l'un de l'autre. Les plus connues - pour les conclusions et les preuves - sont les sépultures de Taíno. Dans la plupart des cas, ils ont enterré les morts dans une sorte de cimetière à l'extérieur des villages. Les cadavres, en général, étaient placés sur le visage ou les jambes ramassées. Dans les environs, il y avait des objets utiles pour la vie après la mort, notamment en raison de la croyance susmentionnée selon laquelle le défunt était revenu sous forme d’esprits. Protéger les familles. Les maladies exotiques apportées par les conquérants et le travail impitoyable ont entraîné la disparition presque totale de la population autochtone de Cuba estimée à environ 300 000 habitants en moins d'un demi-siècle. De ce nombre, il n'en reste que 4 mille [5] La fondation de la villa de San Cristóbal de La Havane a été réalisée sur les territoires de l'ancien chef aborigène Habaguanex. Bien qu'il ne reste aucun vestige de ces communautés autochtones, des preuves de leur existence dans différentes zones du territoire de l'actuelle ville de La Havane ont été découvertes. Il y a eu des découvertes autour de la rivière Santa Ana; à proximité de la plage de Santa Fe; sur la côte ouest de la ville, où certains objets de valeur ont été découverts, tels que les "dujes" ou sièges de cérémonie de behiques et caciques. Ces derniers sont exposés au musée de Montané, une des institutions de la ville de La Havane liée aux cultures autochtones. Des découvertes ont également été faites à Colinas de Villarreal, au nord-est de la baie de Havana; ceux de Rincon de Guanabo, à environ 28 kilomètres au nord-est de la ville; et à Jibacoa, un endroit encore plus éloigné, à environ 50 kilomètres à l’est de la ville et dans les limites de la province de La Havane" Source : https://www.ecured.cu/Abor%C3%ADgenes_de_Cuba
- Le système éducatif cubain
Photo partagée par Isabel Dubonnez Un système qui fait l'envie de bien des pays ! Cette fois, c'est à une demande de Jus Lit que je réponds. Je présente ici quelques extraits d'articles mais les liens vers les versions complètes de ceux-ci suivent les extraits. L'avis de la Banque Mondiale (le rapport date de 2014 mais il est encore pertinent). "En effet, seule Cuba, où l’éducation a été la principale priorité depuis 1959, dispose d’un système éducatif performant et d’enseignants de haut niveau. Dans ce domaine, le pays antillais n’a rien à envier aux nations les plus développées. L’île de la Caraïbe est d’ailleurs la nation au monde qui alloue la part la plus élevée à l’éducation avec 13% du budget national[5]. Ce n’est pas la première fois que la Banque mondiale fait l’éloge du système éducatif de Cuba. Dans un précédent rapport, l’organisation rappelait que l’excellence du système social de l’île : « Cuba est internationalement reconnue pour ses succès dans le domaine de l’éducation et de la santé, avec un service social qui dépasse celui de la plupart des pays en voie de développement et dans certains secteurs, il est comparable à celui des pays développés. Depuis la Révolution cubaine en 1959, et l’établissement d’un gouvernement communiste à parti unique, le pays a créé un système de services sociaux qui garantit l’accès universel à l’éducation et à la santé, fourni par l’Etat. Ce modèle a permis à Cuba d’atteindre un alphabétisme universel, d’éradiquer certaines maladies, de fournir un accès général à l’eau potable et à une salubrité publique de base, de disposer de l’un des taux de mortalité infantile les plus bas de la région et de l’une des plus longues espérances de vie. Une révision des indicateurs sociaux de Cuba révèle une amélioration presque continuelle de 1960 à 1980. Plusieurs indices majeurs, tels que l’espérance de vie et le taux de mortalité infantile, ont continué de se bonifier pendant la crise économique du pays dans les années 1990 […]. Aujourd’hui, la performance sociale de Cuba est l’une des meilleures du monde en voie de développement, comme le documentent de nombreuses sources internationales y compris l’Organisation mondiale de la santé, le Programme des Nations unies pour le développement et d’autres agences de l’ONU, et la Banque mondiale. […] Cuba surpasse largement à la fois l’Amérique latine et les Caraïbes et d’autres pays à revenu intermédiaire dans les plus importants indices d’éducation, de santé et de salubrité publique ». Source : https://www.mondialisation.ca/banque-mondiale-cuba-dispose-du-meilleur-systeme-educatif-damerique-latine-et-de-la-caraibe/5400128 Un article de Florence K., auteure, compositeure et interprète (janvier 2017) "[...] Yandris, détenteur d’une maîtrise en histoire, souligne l’impact sur son quotidien de cette éducation dont il a pu profiter. « L’université est gratuite et ouverte à tous, mais seulement 40 % des Cubains y accèdent, car les études ne sont pas faciles. Ici, tout est payé, mais il faut travailler très fort. Sauf qu’avec un master, on peut être engagé dans le secteur touristique et faire beaucoup plus d’argent. Moi, avec les pourboires, je gagne l’équivalent d’environ 250 $ US par mois. Ici, je suis un hotshot et j’aide beaucoup ma famille. Le salaire moyen à Cuba est d’environ 25 $ US par mois, donc vous pouvez constater la différence. En ayant des études supérieures, on peut accéder à plus. Donc oui, on est motivés. » Source : http://plus.lapresse.ca/screens/f8693586-61ff-4c8e-85f3-eda12f8c1ea6__7C___0.html L’éducation une priorité à Cuba (pas de date indiquée) « L’éducation à Cuba est un exemple pour le monde » Cette déclaration est de l’UNESCO et s’appuie sur des indicateurs qui mesurent la qualité, la première enfance, le primaire, les jeunes, l’alphabétisation des adultes, l’égalité entre les sexes. L’UNESCO déclare que Cuba a un indice de développement de l’éducation pour tous très élevé, même en comparaison avec les pays développés. Et pour les pays en développement Cuba occupe la première place. L’UNESCO cite comme exemplaires les méthodes développées à Cuba comme « Educa a tu hijo », éduque ton enfant, destinée aux parents, et « Yo si puedo », une méthode cubaine aujourd’hui largement utilisée dans le monde, traduite dans de nombreuses langues, et qui a permis à ce jour d’alphabétiser des millions de personnes, avec des résultats remarquables, méthode primée par les instances internationales" Source : https://cubacoop.org/IMG/pdf/education_a_cuba.pdf Cuba et son merveilleux système d’éducation et de santé - Léo Paul Lauzon (2018) "Mes séjours à Cuba Depuis vingt ans, je vais deux fois par année à Cuba. Afin d’être avec les Cubains et d’en connaître plus sur eux et sur leurs services publics, je loue toujours une maison à 50 kilomètres de La Havane coûtant environ 30 $ par jour. Oui, j’ai une photo avec Fidel Castro et avec l’ex-président du syndicat des travailleurs de Cuba, Pedro Ross Leal. Cette photo a été prise il y a une douzaine d’années par mon ami Roger Valois, ex-vice-président de la CSN, lors d’une présentation que j’ai faite sur le libre-échange au palais des congrès à La Havane. Naturellement que je suis très fier de ma photo avec Fidel et Pedro! De plus, chanceux comme je suis, tout l’après-midi, Fidel était assis sur le banc devant moi. J’ai ainsi pu mieux observer cet homme que je qualifie de plus grand politicien au monde des 70 dernières années. Il a sorti son peuple de l’exploitation crasse pratiquée par l’oligarchie cubaine et l’a extirpé des entrailles de l’empire américain. Aujourd’hui, même si Cuba est un pays relativement pauvre, beaucoup en raison de l’odieux embargo économique toujours en vigueur, ce pays jouit d’un des meilleurs systèmes d’éducation et de santé au monde. Même que son taux de mortalité infantile est inférieur à celui des States et l’espérance de vie y est équivalente à celle des pays occidentaux. Qu’à cela ne tienne, plusieurs de nos journalistes et médias ainsi que les organismes de presse internationale comme l’Agence France Presse n’ont de cesse de cracher leur venin sur ce pays et ce peuple digne et courageux. Pour eux, il n’y a rien de bon à Cuba. Ils vivent supposément affamés et oppressés, alors que Cuba compte parmi les pays avec le plus de centenaires au monde. Ils ont la couenne dure ces vieux socialistes! Sur le système d’éducation J’en apprends toujours sur Cuba à chacun de mes séjours. Saviez-vous que tous les étudiants du primaire et du secondaire reçoivent chaque midi un repas gratuit défrayé par l’État? Pas mal pour un pays avec des ressources financières limitées. Au Québec, on n’a supposément pas les moyens de faire ça, mais on est en mesure de baisser les impôts des riches, de verser des milliards de dollars aux médecins et d’inonder nos B.S. corporatifs privés d’une tonne de dollars en aide gouvernementale pigés dans nos poches. Ces mêmes affairistes se font toutefois les chantres de l’économie de marché, du privé, contre le socialisme et l’intervention de l’État, sauf pour se faire gaver de fonds publics et recevoir nos services publics et nos instruments collectifs. De ce point de vue, Québec et les pays occidentaux sont, à plusieurs égards, plus socialistes que Cuba. À Cuba, du primaire au secondaire, l’école, obligatoire pour tous, est de huit heures à dix-sept heures et le taux d’alphabétisation est nettement supérieur à celui du Québec. Bien plus, à l’université, tous les étudiants sont payés par l’État et reçoivent chaque mois 25 $. À la fin de leurs études universitaires, ils doivent faire deux ans de service social payé. Ainsi, là où j’ai loué récemment, le fils de la propriétaire Anna étudie en économie à l’Université de La Havane. À la fin de ses études universitaires, il se peut que l’État lui demande d’aller travailler à Santiago de Cuba (où a pris naissance la révolution) dans l’usine et la mine de nickel détenues en partenariat par la minière Sherritt. Travail rémunéré bien évidemment. Cuba est un des principaux producteurs de nickel au monde. Pourrais-je demander à certains journalistes, universitaires et «écrivains» de prendre contact, pour une fois, au Canada, avec les dirigeants de Sherritt juste pour voir comment vont leurs relations avec le gouvernement cubain? Contrairement à la légende, il y a plus de privés que l’on pense à Cuba, comme les gros hôtels, dont la canadienne Sunwing est la plus grande propriétaire étrangère, les milliers de logements privés loués à des touristes, des restaurants, des constructeurs privés, etc. Ben oui, Cuba devrait privatiser tous les restaurants, les marchés d’alimentation (conserver l’importation, la distribution et l’exportation), les stations-service, etc. Eh oui, il y a aussi à Cuba des inégalités sociales, mais aucun n’est privé de services publics importants. Il y a des Cubains qui ont une belle maison à La Havane et une maison de campagne à la plage. Je ne crois pas à la parfaite égalité économique (et il y a toutefois des limites), mais à l’égalité des chances." Source : https://www.journaldemontreal.com/2018/04/24/cuba-et-son-merveilleux-systeme-deducation-et-de-sante Et quelques autres belles photos d'écolières et d'écoliers partagées par nos membres ! Photo partagée par Julie Morin Photo partagée par Annie Chevalier Juneau
- Vilma Espin
Source de la photo : Site de VMH Révolutionnaire et femme politique cubaine Vilma Espín Guillois (née le 7 avril 1930 à Santiago de Cuba, morte le 18 juin 2007 à La Havane) est une révolutionnaire et femme politiquecubaine. Elle était l'épouse de Raúl Castro, devenu président de Cubale 24 février 2008, et la belle-sœur de Fidel Castro. Avant la révolution Vilma Espín est née dans une riche famille de Santiago de Cuba. Son père était un des cadres supérieurs de la maison Bacardí1, la principale distillerie de rhum avant la révolution. Sa mère, d'origine française, était apparentée au socialiste Paul Lafargue. Elle participe aux manifestations d'étudiants après le putsch de Fulgencio Batista en 1952. Elle part aux États-Unis où elle étudie au Massachusetts Institute of Technology (MIT)1. Elle est une des premières Cubaines à obtenir un diplôme d'ingénieur chimiste1. Elle fait la connaissance de Raúl Castro à Mexico, où il est exilé avec son frère Fidel Castro. À son retour à Santiago de Cuba, Vilma rejoint la direction du Mouvement du 26 juillet qui prépare, sous les ordres de Frank Paísdont elle est la petite amie, un soulèvement pour appuyer les révolutionnaires arrivés à bord du Granma. Quand Frank País est assassiné par les batistiens, elle gagne la Sierra Maestra et s'engage dans l'Armée rebelle. Elle travaille alors avec Raúl Castro dont elle devient son aide de camp2. Vilma et Raúl se marient à Santiago de Cuba le 26 janvier 19592, peu après la fuite de Batista et la victoire des barbudos. Fidel Castro n'assiste pas au mariage retenu à La Havane2. Ultérieurement il lui confie la tâche d'intégrer les femmes à la révolution. Après la révolution En 1960, elle crée la Fédération des femmes cubaines (en) (FMC), qu'elle présidera jusqu'à sa mort. Puissante organisation au service de la révolution, qui regroupe plus de 4 millions de femmes, la FMC lutte aussi pour l'égalité des sexes. Elle crée des garderies et se bat contre le machisme, l'analphabétisme et la malnutrition des enfants. Elle est membre de la Fédération démocratique internationale des femmes. En 1992, Vilma Espín dénonce publiquement la répression et les discriminations qui ont longtemps visé les homosexuels en particulier dans les années 1960 où ils ont été emprisonnés dans les unités militaires d'aide à la production. Ce combat a été repris par sa fille Mariela Castro, un de ses quatre enfants, actuellement présidente du Centre national cubain d'éducation sexuelle. Membre du comité central du Parti communiste de Cuba depuis sa création en 1965, puis du bureau politique, Vilma Espín a également siégé au Conseil d'État, qui exerce le pouvoir exécutif, et à l'Assemblée nationale depuis 1976 et a reçu le Prix Lénine pour la paix en 1978. Fidel Castro lui a souvent confié la tâche de « Première dame » lors de voyages à l'étranger et de conférences internationales. En effet, sa propre femme, Dalia Soto del Valle, n'était pas mise en avant1. Vilma Espín est une des trois grandes figures féminines de la Révolution cubaine avec Celia Sanchez et Haydée Santamaría. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vilma_Esp%C3%ADn
- Article "Cuba, la réalité d'ici ou la trilogie des crises"
Un article à lire ! Pour les personnes qui s'intéressent à l'économie et à la société cubaine d'une façon plus générale, cet article publié le 9 août 2019 devrait vous intéresser ! https://www.cubania.com/blog/cubania-2/post/cuba-la-realite-d-ici-ou-la-trilogie-des-crises-899
- Sites pour la recherche de prix de forfaits Sud
Où trouver les prix de plusieurs voyagistes en même temps ? Bien sûr, on peut naviguer sur les sites de chaque voyagiste (Air Canada, Air Transat, CaribeSol, Sunwing, etc.) pour trouver l'information. On peut aussi appeler directement une ou un spécialiste du voyage. Personnellement, j'aime bien faire quelques recherches par moi-même avant de communiquer avec ma conseillère en voyages. Ses avis et conseils me sont toujours précieux ! Et je sais que je suis entre bonnes mains lorsque je réserve avec elle. ;-) Voici quelques sites que vous voudrez possiblement explorer pour trouver celui qui vous convient le mieux. Je n'ai retenu que les sites québécois. CAA Québec - https://voyage.caaquebec.com/fr/ Il faut d'abord initier une recherche à partir de l'écran d'accueil. Vous obtiendrez ceci comme résultat : En cliquant sur "Plus d'offres", vous obtiendrez un tableau comme celui-ci : J'ai mon voyage - https://jaimonvoyage.com/grille-aubaines Deux grilles des aubaines très faciles d'utilisation Voyages à rabais : https://voyagesarabais.com/ Le site fonctionne à peu près comme celui du CAA. Vous obtiendrez ce tableau : Voyages Bergeron : https://www.voyagesbergeron.com/ Le site du Voyages Bergeron fonctionne comme celui du CAA expliqué plus haut. Sites des voyagistes En plus des sites présentés si haut, vous pouvez bien sûr visiter les sites des voyagistes pour consulter leurs offres "solo", "famille", etc. Air Transat (descendre dans la page) : https://www.transat.com/fr-CA Sunwing (descendre un peut dans la page) : https://www.sunwing.ca/fr/ Voir aussi leur calendrier des meilleurs prix : https://www.sunwing.ca/fr/lowest-price-calendar
- Les 10 meilleurs hôtels à Varadero en 2019 selon le site "VOS MEILLEURS HÔTELS"
PETITE NOTE : Attention, tous les voyageurs n'ont pas les mêmes besoins, attentes et réalités. Ce type de classement n'est qu'une compilation de commentaires et non une étude neutre faite par des spécialistes. Quels sont les meilleurs hôtels à Varadero en 2019? (VIdéo 10:05) Les voyageurs examinent et évaluent les hôtels sur différents sites Web de voyage, et nous avons compilé les données pour les classer. Consultez les hôtels les plus populaires et les mieux évalués à Varadero! Hôtels classés: 1. Sanctuary at Grand Memories Varadero 2. Sélection Iberostar Varadero 3. Royalton Hicacos Varadero Resort & Spa 4. Hôtel Blau Varadero 5. Starfis Cuatro Palmas 6. Le Palmeras 7. Le Melia Las Americas 8. Le Melia Varadero 9. L'Océan Vista Azul 10. Hôtel Roc Arenas Doradas Hôtels Liste présentée sur le site : Hotels in rating: 1. Sanctuary at Grand Memories Varadero 2. Iberostar Selection Varadero 3. Royalton Hicacos Varadero Resort & Spa 4. Blau Varadero Hotel 5. Starfish Cuatro Palmas 6. Sol Palmeras 7. Melia Las Americas 8. Melia Varadero 9. Ocean Vista Azul 10. Hotel Roc Arenas Doradas Hotels and hotels that was close to TOP 10: Iberostar Tainos Paradisus Princesa Del Mar Resort & Spa Ocean Varadero El Patriarca Melia Las Antillas Melia Marina Varadero Be Live Experience Las Morlas Starfish Varadero Hotel Roc Barlovento Iberostar Laguna Azul Iberostar Playa Alameda LABRANDA Varadero Resort Grand Memories Varadero Cayo Libertad Hotel Iberostar Selection Bella Vista Varadero Be Live Adults Only Los Cactus Paradisus Varadero Resort & Spa Melia Peninsula Varadero Fiesta Americana Punta Varadero Be Live Experience Varadero Gran Caribe Hotel BelleVue Sun Beach Iberostar Bella Costa Memories Varadero Beach Resort Muthu Playa Varadero Brisas del Caribe Hotel Blau Marina Varadero Resort Sol Sirenas Coral Resort Barcelo Solymar Hotel Club Tropical BelleVue Playa Caleta Islazul Villa La Mar Occidental Arenas Blancas Hotel Los Delfines Complejo Hotelero Puntarena Caleta Eden Village Marina Varadero Islazul Mar del Sur Aparthotel Gran Caribe Villa Tortuga Hotel Club Kawama Allegro Palma Real Hotel Acuazul Gran Caribe Sunbeach Lien : https://www.youtube.com/watch?v=_S4sipbU9Gs&feature=youtu.be&fbclid=IwAR2XjG1AEE2aFuTsovGe7oDP1Efk5AmEcT3ISMCaVZAtkEJQAIN26Qd4tLU
- Fonds d'indemnisation des clients des agents de voyages
Les questions les plus souvent posées sur ce programme géré par l'Office de protection du consommateur du Québec Voyage/Questions fréquentes sur le fonds Obtenez des réponses aux questions souvent posées à propos du Fonds d’indemnisation des clients des agents de voyages. Qu’est-ce que le Fonds d’indemnisation des clients des agents de voyages? Il s’agit d’une protection financière destinée aux voyageurs, administrée par l’Office de la protection du consommateur. Le fonds vous rembourse pour des services touristiques payés (billets d’avion, chambres d’hôtel, croisières, etc.) que vous n’avez pas reçus, à la condition que ces services aient été achetés auprès d’une agence de voyages titulaire d’un permis de l’Office. Pour plus d’information, consultez la page Qu’est-ce que le fonds? Comment puis-je bénéficier de la protection offerte par le fonds? Vous devez avoir acheté des services auprès d’une agence de voyages titulaire d’un permis de l’Office. Si vous avez fait affaire directement avec un fournisseur, le fonds ne vous protège pas. Vous pouvez vérifier si votre agence détient un permis en effectuant une recherche dans l’outil Se renseigner sur un commerçant. Le fonds peut-il remplacer une assurance voyage? Non. La protection offerte par le fonds complète celle d’une assurance voyage. En effet, le fonds ne couvre pas toutes les situations visées par une assurance voyage, comme la perte de bagages. Consultez la page Situations couvertes par le fonds pour savoir dans quelles circonstances le fonds pourrait vous rembourser. Combien coûte la protection offerte par le fonds? C’est gratuit. Étant donné la valeur actuelle du fonds, vous n’avez pas à payer de contribution. Sur la facture que vous remet votre agent de voyages, vous verrez que le montant de la contribution vous est facturé, puis crédité. Si j’achète mon voyage sur Internet, suis-je protégé par le fonds? Oui, mais seulement si vous l’achetez à partir du site Web d’une agence de voyages qui possède un permis de l’Office de la protection du consommateur. Vérifiez si c’est le cas à l’aide de l’outil de recherche Se renseigner sur un commerçant. Assurez-vous aussi que la mention « Fonds d’indemnisation des clients des agents de voyages » figure sur votre facture avant de conclure la transaction. Le fonds rembourse-t-il des services dont je ne suis pas satisfait ou qui ne sont pas conformes à l’entente que j’avais avec mon agence de voyages? Le fonds ne rembourse pas les services de voyage que vous avez reçus mais dont vous êtes insatisfait : une croisière dont les repas n’étaient pas de la qualité à laquelle vous vous attendiez, par exemple. Or, si vous avez reçu des services que vous estimez non conformes à l’entente que vous aviez avec votre agence, vous pourriez avoir des recours. Consultez la page Insatisfaction liée à des services reçus pour en savoir plus. Si je subis des dommages moraux (perte de jouissance) durant mon voyage, le fonds peut-il m’indemniser? Non, le fonds n’indemnise pas les dommages moraux qui découlent de l’absence de services, comme la perte de journées de vacances ou la perte de salaire causée par un vol annulé. Par contre, si vous obtenez un jugement contre votre agent de voyages qui vous accorde des dommages moraux, le fonds pourrait vous payer un montant maximal de 500 $. Le fonds rembourse-t-il les frais de subsistance (repas pris à l’aéroport, hôtel, etc.) que j’ai dû payer durant mon voyage? Oui, dans certaines circonstances. Le fonds peut vous rembourser si vous avez assumé des frais de repas et d’hébergement parce que vous n’avez pas bénéficié des services que vous avez payés. Ce serait le cas si, à cause d’un vol annulé, vous deviez vous loger et vous nourrir en attendant un autre vol de retour. Un maximum de 200 $ par jour, par personne, est remboursé. Comment puis-je être remboursé par le fonds? La page Marche à suivre pour être remboursé par le fonds fournit l’information à ce sujet, en 6 étapes simples. Le remboursement offert par le fonds peut-il être limité? Normalement, le fonds rembourse les sommes payées à un agent de voyages pour des services touristiques, si ceux-ci ne vous ont pas été rendus. Quel est le délai pour être remboursé? L’Office rembourse les voyageurs concernés suivant l’analyse de leur demande. Vous recevrez, dans un délai de 30 jours, un accusé de réception. Quels sont mes recours si je n’ai pas fait affaire avec un agent de voyages? Vous pouvez communiquer avec la compagnie qui devait vous offrir le service, par exemple le transporteur aérien ou le croisiériste, pour lui demander un remboursement ou une indemnité, s’il y a lieu. Vous pouvez également vérifier si votre compagnie d’assurance peut vous rembourser les services qui ne vous ont pas été fournis. N’oubliez pas de conserver toutes vos factures pour faire votre réclamation à l’assureur. Si vous avez payé les services avec une carte de crédit, vous pouvez consulter la page Achat payé par carte de crédit pour connaître vos recours. Finalement, sachez que d’autres lois, mis à part celle dont l’Office est responsable, protègent les voyageurs. Vous pourriez avoir des recours, notamment en cas de problème avec un transporteur aérien. Dernière modification : 4 janvier 2019 Source : https://www.opc.gouv.qc.ca/consommateur/bien-service/voyage/fonds-indemnisation/faq/
- Les Américains peuvent-ils aller à Cuba ? L'argent américain est-il accepté à Cuba ? Oui et oui !
Voyager vers Cuba pour les Américains, de plus en plus difficile depuis l'arrivée de Trump... Les Américains ont toujours (ou presque) voyagé vers Cuba même depuis l'embargo. Obama avait un peu assouplit les règles, mais Trump les resserrent de plus en plus... Articles qui pourraient vous intéresser : https://www.lechotouristique.com/article/les-etats-unis-interdisent-les-voyages-de-groupe-a-cuba https://la1ere.francetvinfo.fr/martinique/touristes-americains-veulent-contourner-nouvelles-restrictions-sejour-cuba-718428.html Dollars américains à Cuba Oui, il est possible de changer des dollars américains en CUC à Cuba. Mais cela coûte un peu plus cher. Voici une photo partagée par Kim Lévesque en avril 2019 : Attention, il faut ajouter les frais de transaction et un 10% de frais de "pénalité" à ce taux affiché...
- Où manger à Varadero - tout savoir sur les restos, Cubains qui reçoivent chez eux et encore plus !
Au-delà des buffets et des restos à la carte des tout-inclus Même si le buffet et les restos de notre hôtels nous satisfont, il se peut que nous ayons envie de découvrir autre chose. Grâce à tous les partages des membres de notre groupe, nous avons toute une variété d'options ! Vous constaterez que les bons restos sont très nombreux à Varadero et il y en a pour tous les goûts ! Les restos Le palmarès de nos membres Au début de l'article que vous pourrez consulter à partir de ce lien, vous trouverez les "3 tops recommandations" faites par nos membres pour les meilleurs restos pour manger de la langouste, de la pizza, du poulet, etc. https://passionvaradero.wixsite.com/passionv/post/les-meilleurs-pour-un-caf%C3%A9-une-pizza-une-langouste-etc Des articles sur les restos À partir du lien suivant, vous aurez accès à des articles sur presque tous les restos de Varadedo. https://passionvaradero.wixsite.com/passionv/blog/categories/restaurant Les commentaires de nos membres sur les restos Dans la section "Je consulte" de notre site Web, vous retrouverez les commentaires de nos membres sur les restos qu'ils ont essayés. N'hésitez pas à ajouter les vôtres ! ;-) Pour retrouver en un seul fichier toute les infos sur les restaurants (menus, prix, commentaires, etc.) Voici le lien qui vous amènera à un fichier PDF où vous pourrez télécharger le fichier. Il faut cependant être inscrit comme membre du site, mais cela n'oublie absolument à rien. C'est seulement une façon de protéger un peu tout le travail qu'on y fait pour vous le partager ! ;-) https://storage.googleapis.com/static.wixstatic.com/ugd/7ca53f_2c6d52b96b29482da53a562241efe68d.pdf?Expires=1563666097&GoogleAccessId=download-urls%40wixprivatemedia.iam.gserviceaccount.com&Signature=dJnPjTnHu4XldOPLQIzDlcwPkbAn4M2d5Cm8cb48tYfshzD2f0fFnWJsqdLoZPegpphnDFJvKdYLxHIazqjJDhGisHWQMPKXEDvXj5aiWhfpmw%2F2bzbiL9e4Jcv4XWBfvYdfIfbuKXM6TgwQ%2FTqY5oWgt4gecL8F9pTavVBcoh7rDm9GDphEcidni0oKVH1IGbSI7nF3SSnDUBVgIJ4pAH5U3VOpaQmBkeDA71GHnPNTg9lAlDaJbzZmbJDfyjTLKdKur2i2%2BQVinLc%2FaH5KMjE45jBLe%2Fsz0s%2BzQWhQw2oMlsplJma5gkYYSn9Ds9Ya0ka5KY8VtyKVV9xOJ9vc8Q%3D%3D&response-content-disposition=inline%3B+filename%3D%22Cahier+30+restaurants+v.3.+%28Passion+Varadero%29.pdf%22 Petit truc ;-) Si vous voyez des Cubains dans les "cafétérias" (comme le FM 17 ou autre FM) ou les petits restos le midi, dites-vous que c'est sûrement très correct pour prendre un repas ! ;-) Être reçus par des Cubains Si vous avez envie d'expérimenter quelque chose de différent, ces deux articles devraient vous intéresser : Manger dans une famille cubaine : https://passionvaradero.wixsite.com/passionv/post/manger-dans-une-famille-cubaine Manger chez Rodolfo Perez : https://passionvaradero.wixsite.com/passionv/post/manger-chez-rodolfo-perez BON APPÉTIT !
- En casa ? Où louer des chaises et des parasols (ou palapas) sur la plage
Quelques endroits suggérés par nos membres Sol-Angel Solange : "À coté du Los Delfines sur la Calle 39 - environ 2 $ plus parasol - il y a un panneau qui l'annonce. Je pense que près de la 30e aussi à la plage de Mar del Sur juste a coté" Josée Lelièvre : "À la Calle17 pis en plus y a un petite restaurant poulet frit super bon mais je pensé que c'est juste les chaises longues mais j'ai toujours eu un parasol. Je sais pas comment on appelle ça mais bon bref c'est mon spot ça." Chantale Marcotte perso : " En face de la Calle 30. Location de parasol 3.00 CUC et 2,00 CUC pour la chaise longue . Donc 5 CUC par jour." Photo partagée par Chantale Marcotte Perso Isabelle Chopin : "À la Calle 60, tu passes à côté du Quatro Palmas pour te rendre à la plage et tout de suite à ta gauche il y a parasol et chaises que tu peux louer pour la journée." François Daniel : "À la plage du Club Tropical ."
- Playa Coral - plongée en apnée et avec bouteilles
Photo : DIY Travel Antonio Montana et Daniel Doucet Un lieu à découvrir à environ 20 minutes de Varadero Il y a deux façons d'accéder à des zones de plongée : une zone avec accès gratuit et une autre par le centre d'interprétation de l'environnement de la Laguna de Maya. Zone gratuite Photo : DIY Travel Heures d'ouverture: 9 h à 17 h C'est l'endroit le plus proche de Varadero pour profiter de belles plongées en apnée directement à partir du rivage et voir une grande variété de poissons et coraux. Playa Coral est situé sur l'ancienne route côtière à environ 15 km à l'ouest de Varadero, en direction de Matanzas. Si vous avez votre propre équipement, vous pouvez choisir de faire de la plongée en solo à partir de la plage, ou, vous pouvez vous rendre à l'entrée “Laguna de Maya” où on peut louer l’équipement de plongée en apnée (2 CUC) et/ou un guide qui vous aidera à découvrir cette grande barrière de corail. Une plongée d’une heure avec un guide professionnel d’Ecotur ne coûte que 5 CUC, ça vaut le coût! On trouve également sur place un bar et un restaurant, et la possibilité de louer un bateau, ou faire de l'équitation. Playa Coral est un arrêt populaire dans plusieurs des excursions proposées à partir de Varadero, donc si vous préférez y aller par vous-mêmes et éviter les groupes de touristes, il vaut mieux alors s’y rendre le matin ou en fin d'après-midi. Source : http://www.varaderoguide.net/playacoral_fr.html Centre d'interprétation de l'environnement de la Laguna de Maya Photo : Norfipc Laguna Maya est un lieu qui concentre une grande diversité biologique dans cette province cubaine dotée d’une des plus belles plages de la planète: Varadero et la plus grande et la mieux conservée des zones humides des Caraïbes insulaires et de la réserve de biosphère L'UNESCO, la Ciénaga de Zapata, entre autres merveilles. En fait, Laguna Maya appartient au système provincial d' aires protégées pour ses importantes valeurs naturelles, culturelles et historiques. Il a un lac d'environ 2 kilomètres de long. La superficie totale de ce lieu occupe environ 680,9 hectares, 567 terrestres et 115, 2 marins. Il englobe la zone qui forme un lagon d'eau salée, alimenté par trois canaux naturels qui le relient à la mer. Mais il est également entouré d'une forêt de mangroves bien préservée. Parmi ses espèces fauniques , on distingue les lézards du genre Anolis, parmi lesquels figure une espèce endémique de Cuba (A. porcatus), ainsi que des bayoyas du genre Leiocephalus, au sein desquels se trouvent deux exclusivités de l'île. Et comme il est doté de mangroves, il est également courant de rassembler dans cet endroit de nombreux oiseaux intéressants tels que bijiritas, torcazas, zarapicos, canards, charpentiers et pigeons. Mais en hiver, le site naturel devient l'un des sites les plus importants de Cuba pour la protection des oiseaux migrateurs qui traversent le corridor en provenance d'Amérique du Nord. Tout près de Laguna Maya, il y a des plages peu profondes où les récifs coralliens se déploient avec une beauté exceptionnelle, riches en poissons et en couleurs spectaculaires pour la plongée en apnée en toute sécurité, car vous pouvez vous y rendre facilement. La visite des récifs de la région est organisée par un service de guide, il facilite également la location du matériel nécessaire pour vivre pleinement l'aventure. Mais vous pouvez non seulement profiter de la plongée en apnée. Si vous souhaitez plonger,vous pouvez le faire sur deux sites autorisés dans la région, que vous pouvez également atteindre depuis le rivage. Source : Cubaconnecta
- 15 choses à ne jamais acheter dans un aéroport
Source de la photo : Aéroport de Montréal Acheter dans un aéroport, c'est cher ! Il arrive qu'on n'a pas le choix, mais si on peut l'éviter voici les articles et services que vous allez payer plus cher si vous les achetez dans un aéroport : Wifi Appareils électroniques Nourriture Eau Souvenirs Devises étrangères Coussins de nuque Médicaments Voitures de location Bagages Livres Chocolats Alcool - oui oui ! Parfums de marque - oui oui ! Stationnement Pour en savoir plus, consultez l'article https://www.selection.ca/voyage/astuces-de-voyage/aeroport-15-choses-amais-acheter/
- Quelques artistes à découvrir à Varadero
Oeuvre de Javier Isidoro Julian Diaz Pedrosa Cet artiste contemporain nous est suggéré par Stéphanie Stefany. https://www.facebook.com/julian.diazpedrosa?fref=hovercard&hc_location=none Jose Carlos Gonzalez (appelé aussi Sili) Il est à l'hôtel Roc Barlovento et peint de très beaux portraits selon deux de nos membres. Javier Isidoro et Carmen Pino Pendant que Javier peint, Carmen vous accueillera à la foire artisanale au coin de la Calle 51 et d la Primera Avenida (kiosque 13). Je n'avais jamais réalisé, mais ce sont les parents de notre guide Yenny Perez Pino. Commentaires d'une de nos membres : Julie Bouchard : "J'allais recommander la même personne, Carmen, très gentille et les toiles sont à très bon prix et beaucoup de choix." Page Facebook : https://www.facebook.com/carmen.pino.5686?fref=search&__tn__=%2Cd%2CP-R&eid=ARCLofZ7OR_Yt-Bz9jFFSbIAn3THOysfN6Js0rxy1uR5WoRmjmKVKOu74GDhPh3edVu61Dpoklt5SrOo Galerie d'art Espacio 34 Primera Avenida entre Calle 34 et 35 https://galleryespacio34.wordpress.com/
- À Varadero - plongée en apnée et avec bouteilles - offre d'une entreprise
Une offre très complète Le site est en anglais mais vous pouvez faire "clic droit" dans le navigateur Chrome pour avoir accès à l'option de traduction. On y retrouve une offre très variée pour des cours et des excursions. Et il faut jeter un coup d'oeil aux photos ! Voici le lien vers la page qui présente les activités de plongée en apnée à Varadero : https://www.scubalibrevaradero.com/snorkeling-varadero-tour/ Et voici le lien vers leur page Facebook : https://www.facebook.com/scubalibrevaradero/
- Liqueurs douces et boissons gazeuses
Peut-on trouver des marques connues à Varadero ? Oui, on trouve des colas à Varadero et même certaines marques bien connues. Selon une de nos membres, on peut retrouver du Coca Cola en canette fabriqué au Mexique. C’est la même chose que celles qu’on retrouve au Canada ou aux États-Unis selon son conjoint qui travaille pour Coca Cola. Nous en avons trouvé assez facilement en décembre 2017, mais il faut parfois chercher un peu. Un autre membre nous confirme qu’on peut aussi trouver du Pepsi et du Sprite. Photo : Jonathan Marceau Une marque locale Plusieurs membres nous ont dit que le Tukola était très bon et bien sûr, beaucoup moins cher. Photo : Sabrina Brassard Le prix Il faut prévoir payer 2,50 CUC pour les marques “connues” à Varadero. Par contre, on peut trouver des versions locales à des prix beaucoup plus bas. “I like the Cuban Lemon Lime (sprite) – .50 cuc a can “ John Coughlin
- Excursion à Cayo Blanco en catamaran (avec ou sans interaction avec des dauphins)
Il faut faire cette excursion au moins une fois ! Vous retrouverez tous les détails importants dans le document que vous retrouverez sur ce lien et vous pourrez vous rincer l'oeil avec de très belles photos ! https://storage.googleapis.com/static.wixstatic.com/raw/56334b_0d17cfac3574446db5dbbb2d4ba1ce82.pdf?Expires=1561169340&GoogleAccessId=download-urls%40wixprivatemedia.iam.gserviceaccount.com&Signature=tTCLqZOkZrNBsht2JrlWj5JBYZEfKG4erqSlfuWoTko39XIHmWavZFApPLmK66A9LBwVlpOfFZyroD%2F6l1bRms9NVoiMmJ3Gm3omBN0h5NzycBtgDId0EPfhoUTj%2Fz7Z5zI1j4XIGsyX0PJnMOrKMbgIqIIFiNmobrlMRl80fWp8py%2FEP5ERoSrkhW%2Bn5tY2vCcmxQ6jmOBRdMyK8SDs5sqPusIdO%2FkYfzndW%2F7Yy4zt0eCkTYIpcVpAHHdbLA2AtyegjkunjGoDQT0KT24QULWMQlJMEtNnDj4tzCOzq2cKz%2B972fUsk1SWEU3Llz0LQAiNezolAbfZIHLUHrTf4g%3D%3D&response-content-disposition=inline%3B+filename%3D%22Excursion_%C3%A0_Cayo_Blanco_en_catamaran_%C3%A0_partir_.pdf%22
- Masques de plongée - apnée
Photo partagée par Isabelle Pelletier Efficaces ou non ? Selon nos membres, tout à fait ! Ceux qui en ont achetés disent les apprécier beaucoup ! Il faut cependant s’assurer de choisir la bonne grandeur. Ces masques se vendent maintenant un peu partout et les prix varient selon la qualité choisie. À mon grand regret, on ne peut pas les utiliser si on porte des lunettes…
- Voyager avec des enfants - Équipement permis dans l'avion
Est-ce que je peux apporter une poussette dans l’avion ? Oui, c’est possible, du moins avec Air Transat. Il faut cependant respecter certaines règles. Il vaut la peine de vérifier ce qu’il en est sur le site de votre transporteur. Voici le lien pour Air Transat à titre d’exemple : https://www.airtransat.com/fr-CA/Info-voyage/Familles-et-enfants/Voyager-avec-des-enfants Commentaire de Marie-Christine Dérôme : « C’est gratuit en avion avec des enfants. On la laisse sur le bord de la porte de l’avion quand on embarque. dans un grand sac de plastique qu’ils fournissent quand on enregistre nos bagages. Ils l’embarquent dans l’avion quand ils ferment les portes. Rendu à destination on la reçoit sur le carrousel (moins pratique, car souvent en dernier). En mars j’ai même pu traîner le parc et un banc d’appoint pour les repas gratuitement. » Le conseil des mamans Apportez-vous un porte-bébé puisque le passage des contrôles de sécurité à l’arrivée peut prendre un certain temps et que vous ne récupérerez la poussette qu’après, avec vos valises.
- Vous partez en voyage en Cuba? Vérifiez si vous aurez besoin d’un adaptateur électrique !
Le voltage des prises électriques cubaines Vous trouverez à Cuba des prises électriques avec deux types de voltage : 110V et 220V Le voltage est normalement indiqué directement sur la prise de courant. Avant de partir, vérifiez donc bien que vos appareils sont compatibles avec les voltages cubains. Si ce n’est pas le cas, vous devrez alors faire l’acquisition d’un transformateur, capable de convertir le voltage 110V en 220V. Concernant les plus gros appareils, notamment ceux qu'on branche directement dans le mur comme un séchoir à cheveux ou un rasoir électrique et fer plat, ils doivent obligatoirement être utilisés avec un convertisseur puisqu'ils ne possèdent pas de transformateur. Vérifiez attentivement votre appareil ! Tous les autres appareils comme chargeur de cellulaire sont conçus pour supporter le 220v, simplement bien vérifier, voir photo Mais attention: lorsqu'on magasine un convertisseur, il est très important de choisir son modèle selon la puissance (watts) de l'appareil pour lequel il sera utilisé. il est aussi possible de recharger votre cellulaire en branchant directement votre fil derrière le téléviseur dans la prise USB, vous devrez toutefois allumer la TV pour que le cellulaire se recharge. Les prix Puisqu'il existe autant de types d'adaptateurs que de type de prises électriques, il faut s'assurer de choisir celui qui est compatible avec l'endroit visité. Pour ceux qui voyagent fréquemment, il peut être plus pratique de se procurer un adaptateur universel. Ce dispositif a l'avantage de posséder plusieurs connecteurs, ce qui le rend compatible dans tous (ou la plupart) les pays. Dépendamment des modèles, on peut s'attendre à payer autour de 10 et 20$ pour un adaptateur simple et environ 30 à 40$ (ou plus) pour un adaptateur universel.
- Quelques faits historiques au sujet de Varadero
Cet article est vraiment intéressant et nous en apprend beaucoup sur la ville et ses bâtiments. Saviez-vous qu’on peut voir l’ancienne résidence d’été du dictateur Batista au Cuatro Palmas? “Enfin à partir des années 50, apparaît l’introduction du verre dans l’aménagement des ouvertures, visible notamment dans les jardins du Cuatro Palmas parmi les différentes villas comme l’ancienne résidence d’été du dictateur Batista, ou encore les hôtels Oasis et Internacional.” http://www.cubania.com/blog/cubania-2/post/varadero-une-petite-ville-riche-dhistoire-370 Merci à Josée Poisson d’avoir partagé cet article !
- Restaurant - La Casa de Al (photos)
Photo de : Nathalie Carré
- Se renseigner avant de partir pour Varadero
Partir en vacances est toujours un moment que nous attendons tous avec impatience ! Il arrive même souvent que l’on prépare son voyage des mois à l’avance. Il ne faut pas oublier que des vacances à l’étranger nécessitent parfois un peu plus de préparation. Lorsqu’on se rend dans un pays ou une ville pour une première fois, il est important de se renseigner sur certains sujets avant le départ. Ce qui nous paraît “normal” dans notre quotidien ne l’est peut-être pas là où on va. Mieux vaut le savoir avant de partir ! C’est tout aussi vrai pour un premier séjour à Varadero même si c’est une destination “vacances à la plage”. Le site du Gouvernement du Canada Une bonne façon de faire une première découverte de Cuba est de consulter le site du Gouvernement du Canada qui se trouve à https://voyage.gc.ca/destinations/cuba . On y retrouve toute l’information pertinente sur les conseils de sécurité, les questions en lien avec la santé, les lois et coutumes et bien plus encore. C’est aussi sur ce site qu’on peut prendre connaissance du niveau de risque et des avis de sécurité en cas de situations particulières, entre autres si une tempête tropicale ou un ouragan sont annoncés.
- Coucher de soleil (photos)
Photos : membres de Passion Varadero
- LA MARINA (photos)
Photo : Cynthia Poulin
- Papier de toilette à Varadero
Mythe ou réalité ? Est-il vrai qu’il manque parfois ou souvent de papier de toilette à Varadero et à Cuba ? La réponse est… oui et non ! Dans mon petit hôtel 3 étoiles, nous n’avons jamais manqué de papier de toilette dans notre chambre. J’imagine bien que c’est la même chose dans les hôtels de catégories supérieures. Par contre, il est arrivé qu’il en manquait dans les toilettes des espaces communs. Malheureusement, il semble que certains voyageurs prennent des rouleaux pour les apporter avec eux en ville... Certains membres suggèrent de "cacher" un rouleau de papier de toilette si nécessaire pour s'assurer que la femme de chambre en laisse un de plus. Et si on sort de l’hôtel ? Alors là, ce peut être une toute autre situation ! Dans les restaurants en ville, sauf les très petits, je n’ai jamais eu de problème. Mais dans certains lieux publics, j’étais bien heureuse d’avoir un rouleau ou des mouchoirs en papier dans mon sac ! J’oserais dire qu’il faut absolument en avoir si on se rend dans les endroits très fréquentés comme le Beatles (bar) ou lors des excursions. Pourquoi le papier de toilette peut être difficile à trouver à Varadero? Cuba est une île et ses ressources naturelles sont limitées. Elle doit donc importer beaucoup de matières premières et de biens manufacturés. Malheureusement, l’embargo dont elle est victime complique beaucoup la situation, surtout depuis que l’Union soviétique a diminué de façon très significative ses relations commerciales avec Cuba après 1991. Les usines locales qui tentent de produire le papier de toilette, les serviettes sanitaires et les couches sont régulièrement en manque de matières premières. La production dans ces usines est donc régulièrement suspendue. Une personne avertie en vaut deux ! Si vous sortez de votre hôtel, un petit rouleau de papier de toilette pourrait vous être utile un jour ou l’autre ! Pour en savoir plus sur l’embargo ainsi que sur les relations entre l’Union soviétique et Cuba, voici deux liens qui pourraient vous intéresser : Embargo des États-Unis contre Cuba https://fr.wikipedia.org/wiki/Embargo_des_%C3%89tats-Unis_contre_Cuba Relations entre Cuba et l’URSS https://fr.wikipedia.org/wiki/Embargo_des_%C3%89tats-Unis_contre_Cuba
- Bières (à l'aéroport et en ville) - Les recommandations de nos membres
Les marques les plus appréciées à Varadero Les deux marques de bières les plus suggérées par les membres de notre groupe sont la Cristal et la Bucanero. Nathalie Chamberland a aussi suggéré La Presidente qui est disponible à Cardenas, mais peut-être pas à Varadero. Mon choix personnel ? Cristal !!! Commencer ses vacances avec une bonne bière fraîche (ou autre breuvage) dès son arrivée à l’aéroport Je ne sais pas si cela existait à mon premier voyage à Varadero dans le milieu des années 80, mais à mon retour en 2015, il a été rapidement clair pour moi que les Québécois qui arrivent à Varadero ont hâte de de pouvoir s’acheter un breuvage… OK… de la bière pour la plupart dès la sortie de l’aéroport! Une façon de dire : “Enfin, je suis en vacances et je l’assume!” Il est possible d’acheter des canettes de bière et autres breuvages dès la sortie de l’aéroport. Les. vendeurs présents directement devant les portes de sortie profitent un peu de la situation pour offrir des prix un peu plus chers. Et comme par hasard, quand les autobus sont prêts à partir vers les hôtels, ils se mettent à faire des “deals”. Économiser un peu si on accepte de marcher… deux minutes de plus! Nos membres nous ont fait découvrir que tout est un peu moins cher dans le petit kiosque de type casse-croûte à droite quand l’aéroport est derrière vous, à moins de deux minutes de marche. Si vous repérez bien les flèches noires sur cette photo, vous comprendrez vers où vous diriger. Comment commander une bière à Varadero ? Una cerveza por favor ! Voilà la formule magique !!!
- Canaux de télévision à Varadero
Vous serez probablement surpris ! Sur cette image, en regardant à droite de la tasse, vous remarquerez le logo de TVA, une chaîne privée québécoise. Je n’aurais jamais cru que je pourrais regarder des émissions de TVA à Cuba !!! Une variété internationale Nous avons fait l’exercice un soir de parcourir l’ensemble des chaînes accessibles pour tenter de faire un inventaire de ce qui nous était offert dans notre 3*. Je ne me souviens plus du nombre, mais ce qui nous a marqué était qu’il y avait des chaînes cubaines, sud américaines, de l’Angleterre, du Canada, de la Russie et même de la Chine ! Mais aucune des États-Unis bien sûr. Conclusion J’espère que vous allez me croire sur parole et que vous profiterez de votre temps à Varadero pour marcher sur la plage, admirer les couchers de soleil, participer aux animations qui vous sont offertes et faire de nouvelles connaissances… plutôt que de regarder la télévision !